Pauvres moutons qui se ressemblent et se rassemblent dans nos assiettes ! Pauvres lamas, vaches et cochons qui participent à nos banquets ! Nous étions faits pour vivre ensemble, nous au couvert, vous en rillettes, Mais ne poussons pas le bouchon, bientôt vous allez nous manquer.
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J’aurais bien voulu écrire que « écrire n’apporte pas de solution », mais si ce que j’écris est vrai, alors ça devient l’inverse de ce que je voudrais écrire (puisque ça apporte une solution) ; en revanche, si ce que j’écris est faux, donc « qu’écrire apporte une solution » je suis en train de me fatiguer pour rien à démontrer que « écrire n’apporte pas de solution » alors que ce n’est pas vrai ; bref l’écriture n’apporte pas vraiment de réponse. D’ailleurs, si c’était vrai, sachant que l’écriture existe chez les sumériens (en Basse Mésopotamie) depuis environ 4000 ans avant Jésus-Christ (donc depuis environ 6000 ans jusqu’à aujourd’hui), on peut admettre assez facilement qu’elle n’a jamais apporté la sagesse (que ce soit par la religion, par la philosophie ou quelque autre discipline) à l’homme qui continue toujours à se battre, critiquer et haïr ses voisins. Gutenberg avec son imprimerie a permis la diffusion planétaire dans (presque) toutes les langues et dans (presque) tous les pays mais force est de constater que l’intelligence promise n’a pas apporté la paix. Je pourrais en conclure qu’écrire ne sert à rien (ce qui serait une excellent nouvelle pour le lecteur qui pourrait immédiatement arrêter de lire ce texte à la con) mais c’est aussi idiot que de se dire « vivre, ça sert à quoi au juste ? ». Alors finalement cesser d’écrire serait une sorte de suicide qui n’apportera pas une réponse mais comme écrire n’en apporte pas non plus, cela fait un match nul. C’est comme pour Dieu ; s’il existe je lui tire mon chapeau parce qu’il a créé une espèce suffisamment évoluée pour détruire la création plus rapidement que Dieu lui-même. Et s’il n’existe pas, il a tort.
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Dans ce printemps amnésique qui ne cesse d’arroser, J’ai compris que ce délire n’était pas chose anodine ; Ce sont gouttes de musique, comme notes de rosée, Qui s’égrènent de la lyre de la muse baladine.
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Chaque matin, Mademoiselle (la petite maîtresse de Dieu) S’en va cueillir les fleurs nouvelles notamment les belles-de-jour. Accompagnés d’un chœur d’oiselles léger, charmant et mélodieux, Les boutons s’ouvrent et lui révèlent le nom des nouveaux-nés du jour.
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Je ne sais pas pour vous mais lorsque j’ai commencé à lire « A la recherche du temps perdu » de Marcel Proust, je m’y suis carrément perdu dedans en découvrant pêle-mêle les souvenirs de l’auteur qui lui rappelait un événement de son enfance d’où s’ouvrait une porte sur des réflexions sans queue ni tête (si toutefois on arrive à admettre que les réflexions puissent avoir une queue et une tête , ce qui sera difficile à prouver et je souhaite bonne chance ou merde à celui où celle qui s’y attaquera) dont le résultat, au bout de quelques lignes, étaient de me faire penser que je n’avais rien compris de ce que je venais de lire et que j’en avais oublié la moitié sinon les trois quarts mais le pire de cette prise de conscience fut de réaliser que cette histoire n’en finissait pas, que les phrases n’avaient aucun point, qu’il n’y avait aucun chapitre, aucun découpage et que ce livre représentait au choix un puits sans fond ou alors le long fleuve de la vie qui s’écoule et ne s’arrête jamais ; pour faire bref, à la question « sommes-nous les seuls dans l’univers ? », je vous répondrais de continuer à chercher de votre côté quant à moi, je vais m’arrêter là, je suis épuisé.
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Toutes les nuits de pleine lune, on voit la reine de la nuit Arborer une coupe étrange pour honorer la Voie Lactée. Mais cette coiffure opportune doit être peignée à minuit Afin que s’envole sa frange vers les étoiles réfractées.
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J’ai toujours été tatillon au temps où j’ai roulé ma bosse Et j’ai tissé à l’intérieur l’étoffe de mon cœur rebelle. Comme une robe papillon, tous les souvenirs que j’endosse Renvoient encore à l’extérieur mes expériences les plus belles.
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Ah que le cœur des ballerines s’apparente à des femmes-fleurs Qui, sur un ballet de printemps, font voler leurs rouges corolles, Ou même en tutu bleu marine où se mêlent rires et pleurs, Valses de joie à mille temps, bercées au son des barcarolles !
À chaque année n’ayez pas peur, dites votre âge avec des fleurs ! Quand vous atteignez vos vingt ans, offrez-vous des fleurs de printemps ; Dès que vous arrivez à trente, semez plusieurs fleurs différentes ; Lorsque sonneront vos quarante, un joli bouquet d’amarantes ; Plantez des cactus à cinquante, toute l’année sera piquante ; Après soixante et au-delà, n’achetez plus que des lilas. Enfin pour le Deo Gratias, je vous conseille des hortensias.
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Heureusement, dans la grisaille de nos journées qui se ressemblent, Il suffit d’une apparition pour mettre nos cœurs en couleurs. Que voulez-vous ? Vaille que vaille, il faut que l’amour se rassemble Afin que nous aboutissions à nous guérir de nos douleurs !
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Ils vont s’faire passer un savon et se faire tirer les oreilles, Les deux petits anges en retard qui n’ont pas ôté la poussière ! Saint-Barnabé et Saint-Médard vont devoir passer la serpillère Et gratter du sol au plafond à grands coups de pluies et tonnerres
(Moralité : Pour bien nettoyer vos chaumières Et laisser entrer la lumière, Faites confiance à Saint-Médard Saint-Barnabé et O’Cédar !)
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La reine de la nuit se cache, lorsque le jour frappe à sa porte, Chez moi, derrière mon miroir qui la protège comme un voile. Seules subsistent quelques taches de la traîne qu’elle transporte Et j’en vois fuser mes tiroirs d’un peu de poussière d’étoiles.
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Sous ma cloche à fromage, le temps me semble lourd Le soleil pâlichon ne fait même plus d’ombre. Sur la mer de nuages, loin des terres en labour, Mon ballon folichon s’est échappé du nombre.
Coïncidence ou pas, après avoir écrit ce texte, j’ai trouvé ce matin dans la forêt d’Eschenberg une carte-concours d’un lâcher de ballon 🎈 que j’ai renvoyée à sa jeune destinataire !
Le temps est un hypnotiseur et grand maître de l’illusion Qui nous fait croire que tout naît, tout vit et meurt puis, recommence. Comme un phénix catalyseur de renaissances à profusion, La vie s’endort et puis renaît telle une divine romance.
Tableau de Claude Monet « La mer à Antibes » 1888.
C’est au moment de la naissance qu’il nous faut sortir de la bulle Et quitter l’abri confortable pour un monde sans cesse en danger. Curieusement, les connaissances feront de nous des somnambules Qui vivront une incontestable existence où rien n’a changé.
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Le nord est sûrement quelque part mais ma boussole n’a pas d’aiguille ; Je crois que s’il en est ainsi c’est que je n’ai pas à l’assumer. Ce n’est certainement pas par hasard que Dieu m’a fait cette peccadille ; Mes sens sont peut-être amincis mais mon cœur est libre à aimer.
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Selon la théorie darwinienne, quand j’étais monocellulaire, Peut-être qu’ainsi je flottais entre les vents et les marées. Aujourd’hui, à l’ère einsteinienne, je vis à l’heure nucléaire, Si hier encore je sifflotais, j’n’ai plus envie de me marrer.
https:fr.wikipedia.orgwikiPorpita_porpita
La porpite – porpita porpita – flotte à la surface des océans ; on l’appelle aussi le « bouton bleu ».
Dire qu’en franchissant ce pont, il n’est plus question de retour Et qu’il faut aller de l’avant pour devenir un être humain. Trouver celui qui correspond, paré de ses plus beaux atours, Pour vivre ensemble dorénavant et construire un nouveau chemin.
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Sur la planète aux œufs de Pâques, à droite au fond de l’univers, Le Petit Prince a mis de l’ordre d’une bien étrange façon : Là-bas, la lumière est opaque, le printemps précède l’hiver, Ce qui donne du fil à retordre aux cultivateurs mollassons.
Les renards sont apprivoisés, ils ont la clef du poulailler. Mais comme les poules ont des dents, ils sont d’humeur assez morose. D’ailleurs elles ont ratiboisé, à force de débroussailler, Tous les terrains en y pondant des œufs d’où éclosent les roses.
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Que mangent au petit déjeuner, ceux qui vivent d’amour et d’eau fraîche ? Ils sont bien assez excités pour se contenter d’un café ! S’ils passent leurs jours à jeûner, c’est bien normal qu’ils se pourlèchent Mais en cas de voracité, ils risquent fort de se bouffer.
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Parmi les anges du printemps, il y en a un qui fait du zèle Et qui fleurit même les têtes des oiseaux aux plumages verts. Il leur fait un shampoing traitant, des pattes jusqu’au bout des ailes, Et puis leur coiffe une houppette comme un bouquet de primevères.
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C’est une histoire qui commence mais toutes les pages sont blanches Et tu devras remplir ensuite tout ce qu’il te faudra retenir. Alors tu écris ta romance avec ses lundis, ses dimanches ; Mais si tu veux faire une suite, alors il faudra revenir.
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Laissons notre souffre-douleur nous conjuguer à tous les temps Toutes les meilleures surprises passées, futures et au présent. Laissons-le jouer des couleurs et mille odeurs dans ce printemps Avec quelques touches exquises d’un goût subtil, vif et plaisant.
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Qu’importe la pénombre, pourvu que la tendresse Sache enflammer les sens et brûler le désir ! Dans chaque carré d’ombre, l’amour est en ivresse Et fait monter l’essence au foyer du plaisir !
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Quand la Terre accouche d’un fils, la lune brille comme un soleil. Quand la Terre enfante une fille, l’astre est sombre et se renouvelle. À l’équinoxe, ce sacrifice est synonyme du réveil Des grains que le vent éparpille et des fruits qu’un printemps révèle.
Depuis longtemps, qu’il en causait de ce bonheur qu’il nous destine, Que la faim nous en fait saliver de soupirs à travers les plinthes ! Alors il nous a proposé de nous retrouver en cuisine Afin de finir en civet et taire ainsi toute nos plaintes.
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Je vis l’abondance de temps, en profitant du temps de vivre ; Je cours l’abondance d’espace en usant du droit de courir ; Je vivrai dix mille printemps en me plongeant dans un bon livre ; Je me nourris du temps qui passe et n’ai plus le temps de mourir.
Je suis ces petits papillons, mon abondance de légèreté ; Je suis cette petite fille qui aura pour toujours vingt ans ; Je suis ces ballons vermillons, mon abondance en liberté ; Je suis cette jeune jonquille qui vient de fleurir au printemps.
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Surprenez vos instincts de loup, déployez vos envies de louve Et, cette nuit sous la grande ourse, faites l’amour comme un lapin. Il n’y aura pas de jaloux, il n’y aura pas de jalouses : L’homme lui offrira ses bourses ; la femme, son cœur, sous les sapins.
Tableau de Lucy Campbell sur https:disk.yandex.ruawp9rphPJ3Yp7mg .
Pour fêter ce lundi de Pâques j’ai demandé à Maestro, Un beau descendant de Pégase et d’une pianiste émérite, De nous jouer quelques attaques staccato, piano orchestraux, Qui nous transporteront d’extase dans ses ballades favorites.
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Hier encore chrysalides, voici les jeunes papillons Qui rivalisent de nuances pour leurs conquêtes éphémères. La nature ainsi consolide ses coloris de vermillon, De bleu et d’or en affluence pour couronner les jeunes mères.
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À chaque nuit de pleine lune, je vais taire les calomnies Sur les rayons blancs phosphorés qui font sortir les loups garous. Je choisis cette heure opportune à lutter contre l’insomnie Avec mon loup dans la forêt qui court pour vider son courroux.
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Le calendrier nous a dupés en faisant de Pâques une farce Car nous accrocherons nos œufs dans le dos des natifs du jour. Les enfants seront occupés avec galopins et comparses. On peut avoir confiance en eux, ils nous feront rire toujours !
Puisqu’au printemps tout recommence, pourquoi ne pas planter l’amour ? Vous devez en savoir un bout puisque votre cœur a germé ! Juste une graine de romance que vous arrosez tous les jours Dans la nuit, caressez l’embout et puis, dormez à poings fermés.
Hier encore, j’allais en hiver dans un royaume ensommeillé Où les arbres déshabillés semblaient vides de leurs essences. Mais je savais que l’Univers a rigoureusement veillé À renverser le sablier de l’éternelle renaissance.
On ne l’a jamais aperçu, on dit qu’il fait sonner les cloches, On dit qu’il se cache dans l’œuf, on dit qu’il n’est que de passage. L’ange de Pâques n’est perçu que dans le vent qui effiloche Les énergies d’un printemps neuf et en propage le message.
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Pâques, les animaux le savent, c’est la cérémonie lunaire Qui vient juste après l’équinoxe et transmet l’amour maternel. Cette nuit là, les fées reçoivent le vif-argent du luminaire Qui vivra, curieux paradoxe, juste un printemps, mais éternel.
Est-ce l’amour qui émulsionne nos âmes dans un monde hostile Ou bien la haine qui cristallise ce que les deuils ont déchiré ? Que vienne un feu qui papillonne des étamines vers le pistil Pour qu’il butine et réalise ce que nos cœurs ont désiré !
Pleine lune secrète, pleine lune d’argent, Comme un théâtre d’ombres et silhouettes blanches, En lumière discrète, en rayons convergents, Créera dans la pénombre un ballet sous les branches.
Tout ce que je crois être « moi », sont des pensées de papillons Qui s’envolent dans l’éphémère univers que je pense mien. Tandis que mon cœur en émoi reste au fond de son pavillon Et que mon âme intérimaire apprend, écoute mais ne dit rien.
Mes vêtements partent en lambeaux, mes années passées s’effilochent, Tandis que la vague déferle effaçant mes pas sur le sable. L’esprit brûlant comme un flambeau, le cœur battant comme une cloche, Aujourd’hui j’enfile une perle à ma jeunesse impérissable.
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S’il faut prendre le temps de s’envoyer en l’air Pour vivre intensément chaque instant de ce jour, En cas de mauvais temps, sous les coups de tonnerre, Vivons, en complément, coup de foudre et amour !
Mon chat s’appelle « Stradivarius » et dort dans sa boîte à violon Tout ça parce qu’un olibrius de matou lui a dit : « Miaulons ! » Le soir, il joue des sérénades avec ses copains, ses minettes À faire des fanfaronnades avec crincrins et clarinettes.
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La Pâque a marqué le passage d’esclaves fuyant l’oppression, Les Pâques ont porté le message des jours que dura la Passion. On en trouve encore la trace parmi les grandes migrations Et dans le sang de chaque race, les regards et les expressions.
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Je l’aime un peu, passionnément et parfois même à la folie, L’enchanteresse Pâque-rette dans sa robe en coquelicot. Elle est toujours spontanément, des autres fées, la plus jolie. Demain, je lui chante fleurette en poussant mon « Cocorico » !
Si vous voulez aller à Zug, ça se prononce comme « souk » ! Les gens ne sont pas dissipés mais plutôt stéréotypés. On n’y parle pas politique juste une langue germanique. Langue hermétique, soit allemande, soit helvétique, mais romande.
« Pour aller à Zug, prenez le train » En allemand, « Zug » c’est le train ; ça se prononce « tsouk » et lorsqu’ils passent, ils font « tsouk tsouk ». Le début du titre se prononce donc « oum tsoum tsouk tsou … »
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Lorsque le nombre de bougies atteint ce chiffre merveilleux Qui sonnera toute l’année comme un bonheur prédestiné, Ça ne fait rien si tu rougis, juste une larme au coin des yeux, Car aujourd’hui tu as gagné une position déterminée.
La carpe étant fort peu bavarde, elle se pêche aux perroquets Que je place au bout de ma ligne pour lui faire la conversation. C’est inutile que je m’attarde, dès le premier mot rétorqué, La carpe, qui n’est pas maligne, est bonne pour la conservation.
La femme demeure un mystère dont seules quelques initiées Ont décidé secrètement d’en faire un silence complet. C’est pourquoi vous verrez sur Terre, des personnes apprécier D’en voir, dans un retournement, les fesses cachées, s’il vous plait !
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Le cœur gonflé aux bleus de l’âme, portés par le souffle du vent, Remontons la route du tendre et, s’il le faut, lâchons du lest ! Guidés par la petite flamme qui ouvre la voie, droit devant, Nous sommes à même d’entendre les échos de l’amour céleste.
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C’est à l’heure entre chien et loup, éclairés d’un rayon de lune, Que le chat risqua ses deux tours pour capturer le souriceau. Celui-ci, grâce à ses deux fous, fit, par une prise opportune, Échec à la chatte d’atours et puis, au roi, d’un soubresaut.
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