Voilà, c’est par ici que j’ai pris mon envol Pour échapper aux murs d’un esprit isolé J’ai lâché prise sur moi et l’ange bénévole M’a ouvert cette brèche et j’ai pu m’envoler.
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Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
J’ai cueilli toutes ces roses lors d’une aurore boréale, D’un ciel de mille couleurs aux flammes froides astrales, Irisées par les éclairs aux rayons bi-fluorés, Irradiées par un plasma aux lueurs défluorées.
Je les ai, comme il se doit, posées dans un pot Réal ! Aux couleurs de l’Acadie fabriqué à Montréal. Au beau milieu de la nuit, de joyeuses radiations Projettent sur mon plafond toutes sortes d’émanations.
Ça n’a pas duré longtemps, il a vite disparu ! Maintenant quand je m’endors, je suis à la belle étoile ! Je ne vous ai pas raconté ? Des anges sont apparus, Attirés par tous les spectres graphiques enrobés de toile.
Ça doit faire quelques mois, que je n’ai plus de maison ! À la place, comme un igloo de lumières irisées… Ça dérange les voisins, ils n’ont pas tous leur raison… Mais ils ont peur de franchir ma muraille tamisée.
Je n’ai plus besoin de clef, plus personne n’ose entrer. Ne demandez pas pourquoi, moi, je reste transparent ! Les Roses Aurore m’ont eu, elles m’ont déconcentré, Pris mes plus belles couleurs ; je ne suis plus apparent.
Cette jolie passante a trompé mon ennui. Je me suis attardé sur son dos délicat Qui semblait abriter le secret de ses nuits Protégé d’une aura de table formica.
Tout parait démodé, tout parait avant-garde. Est-ce une réfugiée ou une créatrice ? Secrète et silencieuse tandis que je regarde, Je suis observateur, elle est observatrice.
Elle s’est installée devant cette fenêtre. Veut-elle s’évader ? Veut-elle fuir encore ? Je n’ose pas troubler ce calme qui pénètre La femme romantique rêvant sa manticore.
Cent fois j’ai essayé, cent fois abandonné ! Foin de timidité, je n’ose déranger ! Ce parfait équilibre, dans ces quelques données, Demande de l’étude, je dois m’en arranger.
Elle va se lever, elle va disparaître ! Jamais je ne saurais l’essence de son être ! Peut-être une amitié sincère aurait pu naître ? Mais je l’ai laissée libre et je garde ma lettre.
Des rochers enflammés, soleillés de poussière, Assis devant les vagues qui se mettent à danser. Des rocs aurifiés en trésors de lumière, Sous les crêtes d’écume sous le vent balancées.
Dans ce monde hermétique, tout est représenté : Les rochers pour la terre, les vagues pour la mer, Le soleil incendie les rocs accidentés, Tandis que les nuages noient ce pays amer.
Le décor est planté, l’histoire a commencé ; Les choses qui arrivent, finissent par arriver. Cette fois-ci sans l’homme, pour contrebalancer, L’expérience est nature, l’audience est captivée.
Rien n’est jamais causé mais simplement arrive. La représentation est très démonstrative ! Si la moralité vous parait irréelle, La récompense en est toute auto-naturelle !
En habit de lumière, de pourpre et de corail, La belle sauvageonne est en train d’enseigner. Un nouvel aspirant, au sein de son poitrail, Lui parle dans son cœur qui a beaucoup saigné.
Dialogue silencieux juste pour commencer, Il faut s’apprivoiser par des attouchements. La parade amoureuse tendrement cadencée Dialogue entre le cœur et l’oiseau chatoyant.
Juste un beau gazouillis accordé à son cœur, L’oiseau est diapason à toute sa raison. Il lui ouvre la porte et entre dans le chœur De sa chapelle ardente et chante l’oraison.
C’est l’oiseau messager, c’est l’oiseau de l’amour. C’est l’oiseau-compassion, l’oiseau de la passion. Il sait le chant sacré que tous les troubadours Chantent aux demoiselles en émancipation.
Sans prononcer un mot, ils se sont abordés. Ils se sont échangés mille-et-un mystères. Le cœur a fait écho à l’oiseau accordé Et nos deux compagnons sont bien complémentaires.
Bateaux Cocorico en robe tricolore, Vos étranges couleurs me troublent la vision. Vous avez quelque chose de neutre et indolore Mais qui change le sens et donne l’illusion.
Peut-être est-ce le bleu que vous avez conquis Qui vous offre le ciel sur un plateau d’argent ? Ou est-ce l’océan, comme un cadavre exquis, Que vous avez signé, le contrat émargeant ?
Peut-être est-ce le blanc, aux couleurs de vos voiles, Comme des ailes d’anges qui vous font s’envoler, Prendre la voie des airs, la route des étoiles, L’oriflamme aux vents, claquant à la volée ?
Peut-être est-ce le rouge, comme le sang versé Que vous avez gagné au fil de vos batailles ? Peut-être que certaines sont bien controversées, Mais vous l’avez semé du fond de vos entrailles.
C’est bien là les raisons qui voilent vos couleurs Et transforme le monde un peu à votre image. Le sujet observé devient observateur, Mais le but n’était-il pas de faire l’arrimage ?
Parfois pour l’ouverture, il faut s’y mettre à deux. L’un garde la serrure, l’autre garde la clef. Il faut un peu d’humour, être un peu boutadeux, Pour jouir de l’amour sans qu’il en soit bâclé.
Vénus ouvre ta porte, j’ai besoin d’ouverture, Plonger à l’intérieur pour atteindre ton cœur ! J’ai besoin d’y entrer, passer par l’étroiture, Partager avec toi un peu de ma liqueur.
Juste devant la porte, j’appuie sur le bouton Et je prends tout mon temps pour les préliminaires. Couché sur ta pelouse où frisent les moutons, Broutant du bout les lèvres un sésame liminaire.
Sitôt le mot de passe à peine prononcé, L’ouverture se fait inondée de plaisir. J’y glisse enfin ma clef juste à peine enfoncée, Le mécanisme subtil demande son désir.
Puis le paradis s’ouvre, le rideau est tombé. Nous connaissons l’extase, c’est beau quand tu jouis. À l’explosion des sens, la mort est retombée, Mon sexe en a pleuré sur mon cœur réjoui.
Silencieusement un soir je partirai. Amis, je vous en prie, n’ayez aucun regret. Mais le temps a passé, vous m’avez admiré Et une fois encore, j’ai un autre degré À franchir, solitaire, épris de liberté. Mais toujours mon chenin, fidèlement je suivrai.
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Pour mes peines de cœur, j’ai une bonne hygiène : Je vais dans la forêt au cœur de la clairière. Une douche d’étoiles remonte ma moyenne Et me remplit le cœur d’une source de lumière !
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Elle a encore failli me grignoter la tête ! Je lui ai juste dit : « Bonjour, on est amis ? » Mais c’est un prétendant qu’elle cherchait pour sa fête Et c’est tombé sur moi… Putain ! Qu’est-ce qu’elle m’a mis !
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Si vous avez besoin de moi ces prochains jours, Demandez à l’oiseau de vous accompagner. Il vous désignera le puits noir aux amours. J’y suis redescendu avec mon petit panier.
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Je t’ai confectionné un précieux parachute Il te protégera durant tous tes combats Il te préservera au plus dur de la chute Et te fera grimper au ciel dans tes ébats !
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Le temps ne se remonte car il n’existe pas. Ce n’est qu’une illusion, la crête d’une vague, Juste une forme d’onde qui prolonge à grand pas L’écho du créateur que son amour divague…
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Si l’amour dos-à-dos est assez rigolo Il demande aux amants mille comportements Il faut savoir baiser, c’est pas toujours aisé Dans cette position qui réclame attention !
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Fleur bleue dans tes cheveux, fleur bleue autour des yeux Tous ces humbles bijoux sont de belles parures Elle te donne un éclat et un teint merveilleux Et tout l’amour qui vient de la mère nature.
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Quand je reviens dans ma chaumine, J’y fais un feu de cheminée. Toute la journée, je chemine Et j’ai les pieds parcheminés.
Mais ce soir, plus tard, à la brume, Quand je retrouverai ma brune, J’aurai quitté toute amertume En faisant l’amour sous la lune.
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Depuis qu’ils ont grandi on les voit de partout ! Ils sont bien moins farouches et sont curieux de tout ! Petits conquistadors, ils sont passepartouts Mais la biche les surveille et puis le cerf, surtout !
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Dans ma boîte de paysages, j’ai déversé mes couleurs ; Un tube d’encre turquoise qui ressemble à de la brume, Avec quelques tons topaze pour donner de la chaleur, Un peu d’éclats de rubis pour poser un ciel d’écume.
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La mer garde ses secrets et ne les rend plus jamais Toutefois il est possible qu’elle rende une captive On voit alors s’échouer sur les plages du marais Le squelette d’une jonque qui fut loyale combattive.
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Regarde-moi dans ce tableau, tu m’y verras sans artifice ! Regarde-moi dans mes écrits, tu m’y verras nu sans malice ! Toutes ces bouteilles envoyées, tous mes envois, mes télégrammes, J’y suis dedans, dissimulé, tu m’y verras en hologramme !
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Arbres aux mains effilées, arbres aux doigts acérés Vous essayez d’attraper tous les rayons substantiels ! Mais ils fuient loin de vos doigts et rejoignent tous serrés Le trou blanc qui s’est créé juste au pied de l’arc-en-ciel.
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Voilà, elle est fâchée et me tourne le dos. Elle a encore une fois trouvé mal à-propos Mes petits commentaires d’un aficionado Qui rabote les cœurs et en fait des copeaux.
Troubadour dans les cœurs en recherche d’amour, En voulant le bonheur, je sème les malheurs. Je le savais déjà même avec de l’humour, Je n’ai fait que détruire nos précieuses valeurs.
Je ne trouve pas les mots car je sens la souffrance ; Chaque fois que je rime ça rallume la flamme. Le désir quelquefois change les apparences Et le cœur qui dévie fait scandale à mon âme.
Vénus, si tu m’entends, aies de la compassion ! Tes tourments me transpercent et le cœur et l’esprit. J’en appelle à l’amour qui court dans la passion Où naquit l’amitié et mourut l’incompris.
Nul besoin de pardon quand il n’y a pas d’offense. Tous nos conflits intimes n’en ont pas la substance. Toutefois je déplore d’abaisser tes défenses Et j’implore à ton cœur d’effacer la distance.
Toutes des feuilles mortes hier encore au soleil, Comme des amours mortes qui font leur dernier vol, Votre été se referme dans un demi-sommeil, Nul ne passe l’hiver d’une illusion frivole.
Faut-il avoir souffert pour être aussi méchant ? Qui faut-il accuser du soleil ou la feuille ? Qui n’a jamais péché a le cœur asséchant Et mon âme n’est plus que regrets que j’effeuille.
J’ai mis mon cœur flambant pareil à un soleil ! Je pensais voir fleurir les plus belles ramures. Mais la vie est ainsi au pays des merveilles ; Ce qui nait meurt aussi, dure loi de la nature.
Trouverai-je mes mots, trouverai-je mes vers ? Exprimer de l’amour devient aussi mortel ! Donner de l’affection devient aussi pervers ! Seul le mal que je sème demeure immortel.
Prenez mes mots, ma mie et séchez bien vos larmes. Dans mon vent de folie j’ai semé la tempête. Toutes les feuilles meurent d’un dernier cri d’alarme ; J’ai joué l’apprenti de la poudre d’escampette.
Toute sa chevelure n’est rien qu’une écriture. J’ai écrit dans ses lignes combien de souvenirs ? J’ai caché dans les nœuds de sa littérature Toutes mes provisions pour les jours à venir.
Au creux de son bustier, j’ai caché un dessin ; Un chemin vallonné comme en forme de cœur. C’est parce que j’ai besoin de penser à ses seins Pour leur goutte de lait d’une infinie douceur.
J’ai appris à l’oiseau un message trivial : Dissimulé en morse dans ses picotements Qu’il produit de son bec sur le creux synovial De la main de ma fée dans un craquotement.
Ne cherchez pas la suite, elle est dissimulée À l’encre sympathique du jus de citron. Et pour le décrypter et le manipuler, Placez-le sur la flamme d’un four à neutrons.
Mais le plus beau message et le plus indiscret, C’est au fond de ses yeux caché dans ses iris. La pierre de rosette livrerait ses secrets Si sa bouche cousue n’était simulatrice.
Aujourd’hui les pêcheurs ont le cœur à la fête. Ils s’en vont célébrer les fruits de leurs racines. Chacun pense à la joie et chacun s’y apprête, Pas de pleurs ni chagrins, la gaieté les vaccine.
Les enfants ont construits des grands radeaux dragons, Représentant la terre et toute sa lignée. Ce soir on les envoie flotter dans le lagon. On y mettra le feu quand ils seront alignés.
Car le feu c’est le cœur des pêcheurs endurcis ! Les dragons flamboyants en seront le symbole. Fils de la terre-mère ils lui diront « merci » ! Et porteront un toast en levant leurs saints bols.
Sous la voûte céleste, le saint père déploie Un grand décor bleu-nuit constellé des étoiles. C’est pour représenter l’écho de leurs exploits Et offrir les bienfaits que l’avenir dévoile.
Regardez les visages auréolés de flamme ! Tous les hommes et les femmes et tous leurs descendants Ont le cœur en délire et l’extase de l’âme Par ces feux de couleurs au pouvoir transcendant.
Les oiseaux nous enseignent leur solidarité Ils sont bien plus fidèles que nos amours brisés Toujours ils s’accompagnent en régularité Et ne font de calculs même pas algébrisés.
Ils ne font ni promesse ni même engagement Ils n’ont pas le besoin d’écrire de contrat Ni la nécessité de quelque arrangement Ni profession de foi, ni l’usage de mantras.
Pas besoin de futur quand on vit au présent Et leur seul patrimoine, il est dans la nature ! Ils vivent le moment et sont omniprésents Toute leur vie durant n’est que villégiature.
La petite marchande, au sourire bien étrange, Me fixe dans les yeux d’un regard mystérieux. Qu’a-t-elle donc à me vendre ? Quelques belles oranges ? Ou a-t-elle compris qui est le plus curieux ?
À la voir, là, assise j’imagine sa vie Au milieu de sa ferme perdue dans la campagne. Me voit-elle debout comme un preux chevalier Qui pourrait l’emmener au pays de cocagne ?
Je voudrais qu’elle me vende les plus beaux souvenirs, Mais ce serait prétendre au bonheur acheté. Comment croire une vie de plaisirs à venir S’ils ont une valeur souillée et cachetée ?
Les gens croient au bonheur d’un billet de loterie. Ils pensent que le plaisir dépend juste d’un gros lot. Pourtant quand je regarde cette ferblanterie, Je vois bien que mes mots n’agitent que les grelots.
Ma petite marchande a cueilli tous ses fruits, Tous gorgés de soleil et pétris de ses mains. Elle cherche simplement à les vendre à autrui Contre deux ou trois pièces pour subsister demain.
Quand la cloche vient de sonner l’office, Alice pénètre au lieu sacré Depuis le pays des maléfices On ne l’a jamais vue renâcler ;
Aujourd’hui est un peu spécial Elle recherche le curé C’est « Top secret confidential » Attention ! Ça va récurer !
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Auzèlerabougrix sur son bouclier Harangue la foule avant la bataille. « Papillonnes, papillons » clame-t-il altier « Demain c’est le jour ! Nous ferons ripaille ! »
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Prenez un désert au hasard Pourquoi pas celui de Gobi ? Mettez-y la plus jolie fille Relevée de ses plus beaux fards Laissez-la ouvrir ses hobbies Et dansoter en espadrilles.
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Plantez un chat là, sur votre fenêtre ! Arrosez le bien de lait de souris ! Caressez le bien et vous verrez naître Tout plein de ronrons, s’il est bien nourri !
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L’océan de la vie, je n’en vois pas la fin ! Ciel et mer se confondent sur mon vaste horizon. Mais mon cœur tient les rames et surcroît à ma faim ! Et bientôt j’émergerai de la mer de prison.
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Cette vache sacrée fait de l’ombre au soleil. Elle parait « ténèbres », frontière sur l’horizon. Pourtant auréolée de ses jolis conseils, Elle cache la lumière et j’en ai le frisson.
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Je ne sais quel émoi m’apporte cette fleur, Mais chaque fois que j’en vois je la sens résonner ! Sa couleur écarlate coule profond dans mon cœur Et la joie dans mes veines se met à rayonner.
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Quand mon âme s’envole pour rejoindre l’éther, Mon corps est détendu dans cette vibration Qui rappelle et m’appelle au profond magistère Qui m’instruit à l’écho pour ma préparation.
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L’enfant sur les marchés a la tête bien ailleurs. Il se prend à rêver à une destinée ! Mais s’échapper en songe est-ce bien éveilleur Pour rejoindre sa belle, sa jolie dulcinée ?
Il aspire à aller, tel un preux chevalier, Affronter les dragons et toutes les chimères ! Mais a-t-il réfléchi ? N’est ce point cavalier ? De fuir ainsi le monde et cette vie amère ?
Enfant, écoute-moi ! Reprends ta vie en main ! Dis-toi bien qu’aujourd’hui n’est que le premier pas. La montagne à gravir est un travail humain Qui demande patience à suivre son compas.
Bien souvent tu as cru aller chercher ailleurs Les trésors de la terre et les bonheurs surfaits. Mais regarde en toi-même, ne sois pas chamailleur Ta vie est ton royaume, même s’il est imparfait.
L’enfant a arrêté le flux de ses pensées. Il se lève bientôt prêt à tout affronter. Il sait que son bonheur, il peut le commencer En combattant ses peurs et à s’y confronter.
Je suis le bouquet mystère, c’est moi qui porte le poids Des souvenirs de famille et j’en ai plein mes valises ! Dans ma branche on est discret, tout est caché sous les toits On garde tout enfermé, tout est un secret d’église.
Nous avons tous deux racines ; maternelle et paternelle. Ça nous fait deux belles jambes pour bien reposer sur terre. Parfois, l’une d’elles manque, on perd son émotionnel. C’est comme une amputation d’un appui complémentaire.
Ma jambe gauche c’est mon père, ma jambe droite c’est ma mère. Cette dernière est coupée d’une enfance handicapée. Mon cœur est resté muet, l’amour n’était que chimère Et l’esprit a dominé mes sentiments décapés.
Orphelin de cette branche, sans espoir de guérison, J’ai demandé une grâce quel qu’en put être le prix. J’ai fait une terrible chute, le prix de la trahison, Tout le côté maternel, bassin, jambe et bras compris.
Il m’a bien fallu renaître dans une nouvelle vie. Arraché à un travail envahi par mon esprit. Mais j’ai connu l’ouverture, mon cœur à l’âme ravie, D’un prix à payer très fort, c’est ainsi que j’ai compris.
Quand j’ai appelé ma mère pour renouer le contact. Elle en a été heureuse et a pu se dévoiler. Elle est morte le lendemain, après un terrible impact. Je pense qu’elle avait perçu qu’elle pouvait s’envoler.
Maman, quelle étrange peine d’avoir été retrouvé Dans ma branche maternelle, la sève m’en brûle le cœur. Si j’ai de la perception, une intuition éprouvée, C’est grâce à ce sacrifice, grâce à ce bouquet de fleurs.
Une porte s’est ouverte dans cette forteresse. Une brèche inattendue au travers des murailles Qui traverse les peurs et toute la détresse Qui émane du cœur jusque dans les entrailles.
En franchissant la porte, j’ai entendu l’écho D’une voix qui résonne dans ce joli village Fleuri de jardinières et de coquelicots Qui courent sur les restanques aux subtils empilages.
Aussitôt que je pose mon pied à l’intérieur De la cité fleurie, je rentre en vibration. Du plus profond de moi et jusqu’à l’extérieur, Ça amplifie mes sens en accélération !
Cette porte magique, mon corps émotionnel, Établit la frontière et agit comme un sas. Par elle, je communique mon cœur compassionnel Comme un saint talisman, un divin abraxas.
Et j’en suis le gardien ! Si vous voulez connaître Le contact du conscient avec votre inconscient, Je vous dégagerai une rare fenêtre Et vous pénétrerez dans votre subconscient.
Un petit air mutin caché derrière ses yeux, Elle rumine une envie là, derrière la tête, En train de calculer le coup acrimonieux Qu’elle va m’envoyer quand ce sera ma fête !
Car Vénus est ainsi ; elle prépare ses coups ! Jamais vous ne la verrez répondre au tac-au-tac ! En joueuse d’échecs, elle réfléchit beaucoup, Puis soudain, c’est l’idée ! Elle repart à l’attaque !
Elle est calculatrice et est ascendant Vierge. Très précise et concise et quelquefois pensive, Le souci du détail pire qu’une concierge Pour vous faire des critiques plus ou moins excessives.
Mais elle sait écouter, c’est ce qui la diffère De toutes les autres femmes, c’est celle que je préfère. Beaucoup de compassion, mais rien ne l’indiffère Elle a de l’intuition, souvent je m’y réfère.
Ô Vénus, mon amie, ouvre tes jolis yeux ! Lance-moi ton regard si miséricordieux ! De l’esprit ou du cœur ton meilleur allié C’est celui de l’amour où je suis relié.
Je l’ai vue assoupie au fond des eaux dormantes. Des rêves démarraient aux rives des marais. Et c’est tout étendue que tu étais charmante, Jusqu’à ce que la vague de l’éveil mascaret.
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Moi, j’m’en balance, je récite un mantra « Tout cela n’a pas vraiment d’importance » C’est le mantra de l’ÉCHO, mais il est faux ! Mais c’est parce qu’il est faux qu’il fait appel à l’ÉCHO !
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Il est noir et obscur, il est sous les étoiles. Il relie de la Terre aux planètes lointaines. Quand vous roulez dessus vous sentez que les voiles Se gonflent et vous transportent sur des voies incertaines.
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Mes meubles lacérés, mes journaux mordillés, Mes habits pleins de poils, mon fauteuil occupé, Mais tu remplis ma vie, tu m’as désennuyé, Tu me donnes ton cœur jamais préoccupé.
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Les colibris ont fait un nid ! Sur un chapeau ils se sont mis. Et que croyez-vous qui naquit ? Un oisillon au bonnet gris !
Et la belle désabusée Mit son chapeau sur le valet Pour laisser les oiseaux couver. On dit qu’ils ont bien abusé !
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Le temps crée constamment atome et connaissance. La parole a donné son sens à l’univers. Et toujours dans le ciel, on voit en abondance De nouveaux enseignements qui nous sont découverts.
Et si nous accordons notre canal intérieur, Si le cœur est ouvert, orienté sur sa source, Alors nous devenons nous-mêmes créateurs De connaissances ultimes tout au long de la course.
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Regardez tous les elfes, les fées, les farfadets ! Si vous ne voyez rien, retenez la leçon : Comme les habits neufs de l’empereur coquet Il faut être très sage et sans contrefaçon !
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Innocence du cœur que celui de l’enfant Qui entonne son chant pour la fête des mères. Il est frêle et sa voix est celle d’un petit faon Qui gambade gracieux dans sa vie éphémère.
Petite fille timide, ta voix tremblote un peu Mais le cœur qui l’anime brille de sentiments ! Petite fille aujourd’hui, demain femme de feu, Ta jeunesse nous fait son meilleur compliment !
Petite forteresse, juste à peine colline, Un beau jour tu seras magnifique montagne ! Ton cœur rythme le flot de ton adrénaline Qui fera l’étendard de la fière Bretagne !
Cette petite voix me parle à l’intérieur, Elle me tient la main parcourant le chemin Qui nous fera découvrir l’avenir postérieur Et qui n’est rédigé sur aucun parchemin.
Continue à chanter, surtout ne t’arrêtes pas ! Ton énergie afflue dans mon cœur à mesure Que tu fredonnes l’air de ces rimes appâts Et l’éclat de ta voix résonne dans l’azur !
Sœur de lune montante, sœur de lune descendante, Vous êtes sœurs de lait et pourtant opposées. L’une est une attaquante et même combattante, L’autre n’est que douceur, la finesse posée.
Sœur guerrière est pionnière et commence son tour En montant peu à peu jusqu’à se dévoiler. Sœur amour vient derrière et dévoile ses atours, Elle montre ses charmes et puis va s’étioler.
Sœur martiale se protège et se voile le sexe ; La bagatelle n’est pas sa tasse de thé ! Sœur passion est ouverte, elle est plus circonflexe, Un peu plus impudique sans malhonnêteté !
Mais à la pleine lune on les voit rire ensemble ! C’est la fête là-haut avec réjouissances ! Puis elles se séparent mais leur union ne tremble Jamais de se quitter après l’effervescence.
Je les suis du regard quand l’une est en croissance. J’aime bien leur parler et elles me font songer. Puis c’est l’autre que j’assiste durant sa décroissance. Toutes les deux m’inspirent quand je suis allongé.
Ô Galets assemblés, contenant la mémoire De la terre et de l’eau et de leur mariage, Vous êtes leurs enfants, notés dans les grimoires, Avec les sables blonds et les beaux coquillages.
Parcelles de la terre, modelées par la mer, Molécules d’atomes, fragments de l’univers, Tous nés dans les étoiles, dans les galaxies-mères, Vous avez traversé le vide de l’hiver.
Lorsque je vous ramasse sur les plages fécondes, J’entends l’écho de l’onde et le cœur des étoiles. Vous m’avez raconté l’origine du monde ; J’en témoigne à mon tour, honorés sur la toile.
Promenons-nous dans les bois tant que ça ne sent pas le roussi ! Tant qu’on n’a pas besoin de règles de sécurité ! Tant que les loups endormis ne nous causent pas de soucis ! Tant que les peurs enfouies n’ont pas la majorité !
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