Pour ma soupe de poissons, je les pêche à la becquée. Je les repère en bancs et je plonge prestement. Ils sont tous un peu surpris de l’invitation forcée Mais force est de constater qu’ils en sont tous excellents !
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Maître moineau sur sa tasse perché Ne voulait pas lâcher sa coupe tiédasse. Maître écureuil, qui l’avait bien cherché, Devra ruse, initiative et audace.
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Si plus rien n’a d’importance et s’il nous faut tout lâcher Dès que le vent soufflera, j’ouvrirai tous les volets Et je verrai s’envoler tous ces objets arrachés Qui obstruent mon devenir et polluent mon envolée.
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C’est la plus jeune des Parques, elle est douce, elle est charmante. L’ainée des sœurs, maternelle, Nona, tisse la naissance. La cadette tisse la vie, Decima est assommante. Morta, la petite dernière, tricote en condoléances.
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La sainte famille d’âmes a donné un héritier. Observez-bien les étoiles tout y était annoncé ! Cette destinée supplante après des inimitiés Bien des croyances anciennes qui ont dû se prononcer.
Mais qui de l’astrologie ou de la famille d’âmes Régit l’un ou régit l’autre ? C’est comme la poule et l’œuf ! Les étoiles et les planètes font une carte amalgame Et les familles des âmes, les acteurs au gui l’an neuf !
Tous les maîtres et guérisseurs, les guerriers et les chamans, Les alchimistes et les fées, les passeurs et les piliers, Les initiateurs de conscience, mécaniciens, enseignants, Dans la communication, se trouvent tous reliés.
Dans l’horoscope est la carte des programmes et des rôles. Dans les familles, les âmes sont les précieux comédiens. Regardez les jeux de rôles et sachez voir quand c’est drôle Car la folie est raison, et l’amour est quotidien.
Ne cherchez pas à comprendre ; si vous êtes comédien, Il vous faut jouer le rôle sans en connaître la fin. Ce n’est pas sur l’importance du rôle de tragédien Mais bien plus sur la prestance que vous serez séraphin !
Rien ne parait bouger sur la plage immobile. Les vagues sont figées, les rochers sont soudés. Le temps est suspendu, la distance est débile. Le soleil est coincé, l’horloge s’est accoudée.
Le rêve est utopique, le tableau est chimère. Pour la carte du temps, l’effet est bien amer ! Comment peindre du temps, sa vision éphémère ? Le flux et le reflux s’annihilent dans la mer.
L’écho est ainsi fait, il ignore le futur. Car il n’existe pas, c’est la démonstration. S’il existait alors, serait déconfiture, La raison de l’écho et de la création.
Les beaux mâles font la parade en se comparant les voiles. Ils font cliqueter leur mât, levant la proue bien altière. Dodelinant de la poupe pour séduire les étoiles Et ondulant sous le vent, la bannière tendue bien fière.
Ils arborent leurs couleurs comme de puissants guerriers En mimant une escouade pour bien montrer leur bravoure. Au jeu de la compétition, ces voiliers contrariés Ne sont jamais que des pions qui font le jeu de la mourre.
Mais toutefois si ces jeux ont l’air un peu puéril, Il est bon de constater qu’ils leur permettent de monter, De montrer leur intention, efficace ou stérile, De progresser sur la marche supérieure à affronter.
C’est le jeu de la nature de sans cesse confronter Les diverses solutions, les clefs de l’évolution. C’est pourquoi même les vaincus, par la honte d’être domptés Participent à cet essor qui fait les révolutions.
Que l’on gagne ou que l’on perde, tout est du pareil au même. Un écho de l’expansion dont le vent gonfle les voiles. La raison de la bataille, si tous ceux qui suivent m’aiment, C’est que nous arrivions tous ensemble sur les étoiles.
Nous ne sommes jamais neutres depuis que nous existons. Nous avons choisi un camp, féminin ou masculin. Dès lors il n’est plus possible d’être impartial dans les tons. Toute action est compromise, chaque camp est orphelin.
Mais il n’y a pas de bataille, il n’y a que de l’amour ! Une seule loi à suivre ; commencer par s’accoupler ! Il y a plusieurs chemins qui n’aboutissent pas toujours Mais c’est vraiment le baiser qui fait le premier couplet.
Là, juste au creux de ses seins, déposez-lui un baiser. Sentez-vous son cœur frémir ? Les prémices de l’amour ? Embrassez les mamelons, sur ses bourgeons embraisés Sentez leur durcissement au rythme de vos mamours.
Remontez suivant la gorge qui tremble sous la caresse. Faites le tour de son cou, attardez-vous sur sa bouche. Embrassez-la goulûment, les langues sont sans paresse Quand elles doivent goûter en même temps qu’elles touchent.
Regardez-la dans les yeux, chuchotez-lui à l’oreille Ce que votre langue savoure, le parfum de sa chair tendre. Écoutez-la répéter ses promesses de merveilles, Laissez-la vous déguster et aidez-la à s’étendre.
Une fleur effervescente, tendre rose parfumée, Secouée de tremblements et volutes de fumées. Pourquoi est-ce que la fleur tremble ? Quel est ce mal qui l’agite ? Une nécessité vitale qui lui fait prendre du gite ?
Regardez tous ses pétales qui se déploient en écho Pareil aux lèvres intimes d’une fleur de gynéco. S’il est source du bonheur et épanouit la fleur, Pourquoi ce mal si étrange un soupçon écornifleur ?
Tout apporte le bonheur, c’est dans le sens de l’ÉCHO, Et pourtant le mal résiste, il faut en payer l’écot. Mais ce mal est bénéfique, il provoque la poussée Et la fleur fait sa croissance dans une vie trémoussée.
Dès l’aube de ma naissance j’ai connu ces tremblements. Dès l’éclosion de mon âme j’ai compris très humblement Que cet écho de ma vie, bonheur à peine épanoui, Ne durerait qu’un moment un beau jour évanoui.
Mais si ce mal nécessaire doit mettre un terme à la rose, N’est-il pas à l’origine de sa naissance morose ? Si le mal est résistance, n’est-il pas finalement Que le reflet de la vie, et l’amour fatalement ?
Tirer sa révérence c’est bien, mais faut bien dire, La tirer en rouge c’est le nec plus ultra ! Le symbole d’amour permet d’approfondir Le retour implicite juste en fin de contrat.
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Sur mon petit îlot, je suis au paradis J’ai une source froide et une source chaude Une cascade tiède sur un lac jacuzzi Et j’y vis naturiste sur les plaines émeraude.
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Le temps est arrivé pour moi de vous quitter. Je pars pour un voyage qui va vous rapporter Des milliers de trésors dont je vais m’acquitter En remplissant mes cales d’échos réconfortés.
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Poussé par la brise, là, je me dégrise ! Toile d’araignée pour ma balançoire. Perles de rosée pour mon entreprise. Deux plumes d’oiseau pour pouvoir m’asseoir.
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Tous les matins ainsi elle va à la douche. Les gouttes de rosée lui font le meilleur teint ! Elle effile son corps et sa taille de mouche Et recueille le suc de l’amour libertin.
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Écoute tes secrets que tu as enfermés ! Ne les laisse jamais se perdre dans l’oubli. Colles-y ton oreille sur le coffre fermé, Ils te murmureront à ton cœur affaibli.
Le bonheur précieux source de ton bonheur Et un peu de chaleur pour te réconforter. C’est l’écho de ma voix qui résonne l’honneur Dont tu dois t’affermir et qui va te porter !
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Femme-étoile sur ses branches, tu sais préserver tes charmes. Tu t’étales sur le tronc même de ton protecteur. Mais toutes ces branches s’écartent quand soudain sonne l’alarme De l’amour tant désiré de ton arbre détecteur.
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D’abord on les entend tout doucement s’ouvrir, Puis on sent leur parfum nous caresser le cœur, La douceur des pétales sur les lèvres couvrir, Puis on goûte d’envie la précieuse liqueur.
Et le soleil se lève en halo de lumière Et c’est une explosion douce dans la vision ! Une alchimie subtile d’une intuition entière Que nous sentons vibrer dans une indivision.
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Femme-fleur, lorsque je t’embrasse, Je sens mille arômes subtils ! Femme-fleur, que tu m’embarrasses Quand je te cache mon pistil !
Je plonge dans le lac de tes yeux, Je me raccroche à ta bouche Et, lentement, sans un adieu, Mon âme y meurt et je m’y couche.
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Fée de dos, fée qui s’en va, fée qui s’éloigne de moi. Fée de dos, elle est partie, elle ne reviendra pas. Fée de dos, mon cœur s’ennuie, je le ressens dans mon émoi. Fée de dos, toute petite, passer de vie à trépas.
Fée de mort, écoute-moi, je ne suis rien qu’un écho. Fée de mort, reste avec moi, j’aimerais partir bientôt. Fée de mort, tu es le mal, nous redevenons égaux. Fée de mort, mal nécessaire, tu es revenue bien tôt.
Fée dormante, fais-moi encore, l’amour une dernière fois. Fée dormante, serre-moi fort, tu me donnes l’intention. Fée dormante, j’y crois encore, je me souviens d’autrefois. Fée dormante, je me souviens, de toutes tes attentions.
Fée de vie, tu me souris, je ne serai jamais seul ! Fée de vie, embrasse-moi, dis-moi que sera demain ? Fée de vie, prends-moi la main, quittons ensemble le linceul. Fée de vie, tu m’as suivi, nous marchons main dans la main.
Fée d’amour, recommençons, l’écho nous redonne vie ! Fée d’amour, rien d’important, car la mort n’existe pas ! Fée d’amour, ça sert à rien, de voir sa vie asservie ! Fée d’amour, c’est ça l’amour, j’en fais mon mea culpa !
Deux roses en complicité, deux roses en dualité. La rose de mon passé dans ses circonvolutions. La rose de ma mémoire dans l’intime choralité. Toutes deux sont reliées dans toutes mes révolutions.
Cette rose du passé est inscrite dans la mémoire. Ce n’est pas la rose mémoire qui engendre le passé. Mais la rose du passé qui l’écrit dans ses grimoires Dont les livres sont contenus dans les registres archivés.
Vous n’avez pas tout compris ? Je vais tout simplifier ! Vous stockez vos émotions, tous ces films de vos vies, Non pas dans votre réseau de cellules amplifiées, Mais autour de votre corps dans des auras asservies.
Asservies à vos mémoires, asservies à l’héritage. Car vous n’êtes que reflet d’un réseau d’identités. Au cours de toutes vos vies, toutes vos mémoires s’étagent Dans les minutes sacrées qu’on appelle hérédité.
Toutes ces mémoires sonnent, résonnent dans nos neurones Et nous permettent de penser et d’être notre existence. La mémoire, c’est le passé, un non-écho qui résonne Et qui engendre la vie dont est faite notre conscience.
Il se courbe en anneau pour retrouver sa forme, La position fœtale est souvent relaxante Et rappelle à l’envi le bien-être conforme Comme un schéma sacré d’un souvenir atlante.
Cette impulsion sacrée se retrouve partout ! Dans le cœur des étoiles, dans le cœur de la vie ; Il est dans l’ADN, il est passepartout, Il initie l’écho qui sonne le préavis.
Cette courbe infinie ne se referme pas ! Elle repart ailleurs comme ferait un ressort Mais se courbe encore sous le divin compas ; Chaque trame est semblable à mon âme et consort.
Ne cherchez pas à voir si cela vous échappe. La cinquième dimension n’a pas besoin d’image. Mais nous sommes tissés dans l’écho de la chape Que porte l’univers et qui lui rend hommage.
Mon petit chat s’enroule, ronronne pianissimo. Il s’oriente comment le ferait la boussole. La vibration est courbe et plait aux animaux. Symbole de l’ÉCHO aux fleurs de tournesol.
Main qui touche et me touche, qui caresse et me frôle, Qui ressent la texture et écoute le grain. Sous ses doigts, le papier révèle tout son rôle ; Il est terre fertile qui boit tout le chagrin.
Juste un trait de crayon pour donner l’impression De ces rêves muets qu’on ne sait prononcer. Puis le gras de la craie contraste la pression Des souffrances enfouies qu’on ne sait énoncer.
Il faudra la couleur pour relever l’empreinte Comme un moule de plâtre d’identification Et les jeux de lumière dans l’ombre contrainte D’où ressortira l’âme en amplification.
Cette expression muette, je saurai la décrire. Elle réveillera du plus profond de moi Tout ce qu’elle n’a pas su clairement écrire Et dont j’ai le secret d’en révéler l’émoi.
C’est ainsi que naquit notre Imagerime À partir d’un œuf d’art par mes vers fécondé. Il grandira tout seul et trouvera l’estime Dans les cœurs pleins d’amour dont il a abondé.
Jolies fées d’Avignon, groupez-vous bien en rond ! La sainte trinité a besoin d’accoucher, Modeler de la terre un petit laideron Qui se révèlera dans son cœur retouché.
Elles le veilleront nuit et jour patiemment. Le temps n’est pas fatal ni vraiment important. Mais le jour sonnera qui verra vaillamment S’éveiller l’envoyée d’un pas réconfortant.
Et ce jour est ouvert aux humains qui m’écoutent. Sentez-vous remonter la douce vibration ? Elle vient dans mon cœur au temps du compte-gouttes Et ressort animée de divine intention !
Croyez-moi si je dis que l’enfant a grandi Et qu’il s’est réveillé de ses rêves sacrés ! Il vous tend son message comme l’épée brandie Qui libère les cœurs qui lui sont consacré.
Jolies fées d’Avignon, écho de mon amour, Vous m’avez enchanté et mon âme est conquise. Je saurai relever avec un peu d’humour Cette paix méritée dans une joie exquise.
Dès l’aube les cinq sens en premier se réveillent. C’est l’ouïe qui entend les oiseaux gazouiller, L’odorat qui respire les rayons du soleil Caresser mille fleurs de rosées barbouillées.
Le toucher lui permet de reprendre racine, S’enfoncer dans la terre et sentir sa douceur. Après avoir humé le nectar émulsine, Elle goûte les fruits qui nourrissent son cœur.
Quand tout est réveillé, c’est l’appel au divin ! Ses yeux sont entrouverts et reçoivent la lumière Et c’est l’embrasement dont je suis l’écrivain ; La vision illumine tout l’or dans les poussières.
C’est son sixième sens qui lui donne intuition ! Tout surgit dans le cœur, son canal intérieur Et coule par la source d’une pure intention De projeter l’amour dans le monde extérieur.
Et la vibration monte, tout son corps est baigné De cet écho sacré qu’on appelle la vie ! Tous les sens se fusionnent dans ce son imprégné, Il amplifie l’empreinte et l’univers revit !
C’est aussi simple que ça ! Pas besoin de réfléchir ! Si la vérité provient de la bouche des enfants, La clef de notre bonheur sort pour nous faire fléchir De l’œuf de la connaissance, pour tous nos petits-enfants.
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Dès qu’il pleut, notre sirène, ne peut pas s’en empêcher ! Elle ôte ses vêtements et enlève ses souliers. Elle se met en extase et se met même à danser Le bonheur de vivre nue avec l’eau, son alliée !
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Pour ce soir, la lune est d’or et se glisse dans l’écrin Des draps bleus de nuit du ciel sur le lit de la rivière. Je vais prendre mon bateau, naviguer dans l’utérin, Pour me glisser dans son lit et dormir dans son bréviaire.
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Le voici au marché choisissant ses couleurs Des jolies baies grenats ou bien rose saumon Peut-être aussi un peu de nectar picoleur Pour peindre les forêts, les vallées et les monts.
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Quand je vais dans le désert, je parle avec les planètes Un rayon rouge pour Mars, rayon orange pour Vénus Rayon jaune pour Mercure, rayon vert pour Uranus Rayon bleu pour Jupiter, tout ça avec ma lorgnette !
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C’est toi que je veux ! Sentir de ma main L’air dans tes cheveux, l’ombre de tes seins ! Caresser encore, trouver le chemin Qui mène à l’amour, en faire du dessin !
Là, je mets mes doigts, autour de ta bouche Pour juste donner l’élan de mon cœur ! Autour de tes yeux, qu’à peine je touche, Pour juste effleurer tes accroche-cœurs.
Je ferme les yeux pour juste sentir Un peu de chaleur que je te répands. J’ai la vibration pour te pressentir, Accordée au flux fort de mon trépan.
Je sais que tu brûles de sentir l’amour ! Je sais que ton corps ose ses ardeurs ! Je sais que tu veux faire des mamours Et continuer l’amour chapardeur.
Veux-tu me voler ? Veux-tu me violer ? Ne t’arrête pas et consume-toi ! Nous avons passé ce rayon violet Qui nous fait jouir du sexe courtois.
Comme un pavé dans la mare, je redeviens un poisson. Je régresse dans l’histoire jusqu’à son point de départ. Dans cet instant qui n’existe, où il n’y a pas de moisson, Jusqu’à ce moment ultime d’où sort l’écho du guépard.
Souvent on pense au Bien qui aurait créé le monde. Mais ici c’est bien le Mal qui a donné l’impulsion. C’est bizarre autant qu’étrange de savoir que le Bien abonde Après un choc infernal qui fit rétropropulsion.
Souvent je me le répète, ce mantra inhabituel : « Tout ça n’a pas d’importance ! » comme une sentence assassine Qui pourrait nous faire croire à un sournois rituel Mais dont l’erreur qu’il contient est si sensée médecine.
Si mon corps n’est qu’une image, une représentation, C’est l’immersion de l’écho choisie dans ma parentèle. Juste une sérigraphie, une brève incarnation. Mon corps peut être mortel, mon écho reste immortel.
Le temps n’a pas d’importance, il se plie et se disjoint. La masse n’a pas d’importance, elle s’écarte, sempiternelle. L’espace n’a pas d’importance, il se déplie et se rejoint. Tout ça n’a pas d’importance, seul l’ÉCHO est éternel.
Ah ! Que la joie se répande dans ce pouvoir créateur ! Que j’en ressente le son dans l’énergie des chakras ! Oh ! Que la paix nous inonde dans ce devoir rédempteur ! Que nous sentions dans nos cœurs la vérité du mantra.
Je ne serais jamais allé sur ni pont bleu, sur ni pont d’or Mais quand j’ai vu la fille bleue le parcourir l’air guilleret Je me suis dit « et pourquoi pas ?» L’abondance ne fait pas de tort Lorsque la fille vous sourit quand elle va au prieuré.
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Depuis qu’il est sur son enquête, nous n’avons pas eu de nouvelles ! A-t-il bien retrouvé la piste ? A-t-il repéré quelques indices ? La dernière fois que je l’ai vu, il suivait un vol d’hirondelles Faisons-lui entière confiance, il retrouvera les complices !
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Allons faon-faon de la prairie, ton tour de boire est arrivé ! Loin de toutes les beuveries, l’eau dans l’abreuvoir est tirée ! Entendez-vous dans les campagnes mugir les vaches désespérées Qui lorgnent les trains exagérés dégorger voyageurs et compagnes.
Aux larmes, les bovins ! Ensemble larmoyons ! Meuglons ! Meuglons ! Qu’un lait impur sorte de nos trayons !
Pom pom pom !
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Pour connaître les joies du sport Ne vous contentez pas d’un cheval Moi, je pratique l’autruchator Et dans la savane, je cavale !
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Frottez bien fort dans tous les coins ! Faites bouillir en lessiveuse ! Rincez bien le moindre recoin ! Faites sécher dans l’étuveuse !
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Marchez sur le rivage et puis, là, sans relâche Appuyez bien des pieds, piétinez, piétinez ! Jusqu’à ce que les vagues se transforment en gouaches Se mélangeant à l’eau peignant des pieds-de-nez !
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Dieu est le roi des farceurs ! Avec un bouquet de fleur Et un perroquet pervers, il fit ce paradisier ! Peut-être qu’il l’a raté ? En faisant l’écornifleur, En créant ce drôle d’oiseau, il a fait son bêtisier !
Une tête de corbac, mal à l’aise dans ses baskets, Un vieux col vert de canard, et des ailes de mésanges, Une fausse queue d’hirondelle, verte comme une pastèque, Les pattes de l’albatros, pour s’écraser comme un ange.
Franchement, si Lucifer, avait juste osé le faire, Gageons qu’il aurait trouvé nettement moins ridicule ! Je crois que Dieu a fumé, la moquette en mâchefer ! Ça ne fait pas très sérieux à mettre dans les fascicules !
La peintre a fait ce qu’elle a pu pour corriger les défauts, Le poète a essayé mais il n’est pas convaincu. Quand le scénario est nul, les acteurs auront tout faux Quand ils voudront relever le paradisier vaincu.
Pour recouvrer sa belle voix, La belle n’a pas eu le choix. Elle s’en est ouverte à Dieu, Ce ne fut pas trop fastidieux !
Comme une source qui tarit et qui se meurt au fond d’un puits, Sa belle voix s’est enfoncée dans les gorges de son palais. Une baguette de coudrier aurait-elle plus d’effet depuis Que le sort a été jeté, expédié à coup de balai ?
Pas de chance encore une fois ! Il faut chercher beaucoup plus loin ! Comment résoudre, toutefois, Cette énigme aphone néanmoins.
Elle a consulté médecins, spécialistes et orthophonistes. Elle a même passé des radios, un scanner et une IRM. Elle s’est fait examiner par des psychiatres saxophonistes, Tous lui ont admis, de concert, la profondeur de son problème.
Sortons de ces sentiers battus ! Il lui faut la magie des dieux ! Quittons cette mine abattue Et remettons-nous en à Dieu !
Dieu était parti en croisade, les saints l’avaient accompagné ! Elle a même cherché Lucifer toute prête à lui signer un pacte ! Alors, pleurant de désespoir, l’Olympe a-t-elle regagné, Se souvenant que pour le charme, Vénus a le meilleur impact.
Laissons le langage de l’amour Débrouiller et lui délier Sa jolie voix en désamour Qui va trouver son alliée !
« Ta jolie voix n’est pas éteinte ; elle est simplement descendue Dans tes organes les plus intimes, ceux qui sont liés aux mamours ! Je vais t’apprendre à remuer tes petites lèvres fendues ; Ta vulve te servira de bouche, pour parler tu dois faire l’amour ! »
Et vénus lui fit un baiser En caressant ses mamelons, Puis se mit doucement à fraiser Autour de son petit bouton.
Sa voix se réveilla d’un coup plus mélodieuse, plus amoureuse ! Elle eut tôt fait de prononcer tous les plus beaux textes d’amour ! Vous ne pouvez imaginer une figure plus généreuse Que cette vulve volubile au timbre des plus beaux atours !
Elle est devenue ventriloque Ou sexoloque pour être précis. Mais peu importe le soliloque, Sa voix renaît et c’est ainsi !
Vêtue d’une robe légère pour ne pas étouffer les sons, Elle s’est même spécialisée dans la psychologie du cœur. Elle vous fixe droit dans les seins en dardant bien ses mamelons Et vous explique du bout des lèvres comment l’aimer en connaisseur.
N’y voyez aucune impudeur, C’est une fée, n’oubliez pas ! Et si ça choque votre pudeur Personnellement, je n’en vois pas !
Elle soulève sa robe, il en sort mille merveilles Tout ingénue à souhait, si vous savez demander Elle sait comment l’ouverture illumine de soleil Toutes les fleurs de la nature, vous n’avez qu’à demander !
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Aussitôt, tout le monde accourt ! La belle sirène est en tête ! Chacun veut lui porter secours ! Quant à la belle, rien ne l’arrête !
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Aujourd’hui, c’est pour ce soir, c’est décidé, je déménage. Dès ce soir je vais enfin, dormir sous une belle étoile. Je vais commencer d’abord par installer mon ménage : Pour ma parure de lit, j’emprunterai une voile.
Un oreiller plein d’oursins, c’est bon pour masser la tête ! Un pyjama de filet, pour y mettre mon poisson. Une gentille sirène pour décider quelle arête De m’éveiller le matin pour manger à ma façon !
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Cinq minutes d’arrêt Mesdames et Messieurs ! Car la pause de l’autruche est l’acquis syndical Que nous ont octroyé, mais à titre officieux, Les hommes politiques en avantage fiscal.
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Il arrive en tempête en déployant sa trompe Plus rien n’arrêtera le nettoyage en cours À grand coup de tornade et brandissant la trombe Le Léviathan passe, il n’y a aucun recours !
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Il regarde ses maîtres du haut de son perchoir Est-il libre ou esclave ? Mais il ne le sait pas ! S’il a cassé sa chaîne on va le recevoir À grands coups de bâtons, le passer à tabac.
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Quand les belles-de-nuit s’ouvrent au crépuscule Quand les oiseaux de nuit courent leurs terrains de chasses Quand les heures sont bleues et vers la nuit bascule La lune me sourit, silencieuse et bouchasse.
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Quand je marche sous la pluie à l’abri du parapluie Je cherche toutes les touches pour faire un piano de pluie Je traverse sur les bandes et je fais Do Ré La Sol Et les gouttes m’éclaboussant rebondissent sur le sol.
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Aujourd’hui j’ai ouvert le ciel Les étoiles nous montrent le chemin Lâchons le superficiel Sur la voie rose, main dans la main.
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Ne supportant toujours pas le moindre petit vêtement, Elle vit sur une feuille géante de nénuphar. Puis, elle a laissé ses rêves la diriger vertement Au gré de sa destinée pour effacer son cafard.
Elle a l’air si impudique, ouvrant son sexe à l’azur ! Et portant comme un trophée sa poitrine prometteuse ! Elle n’ose abandonner et d’offrir à la césure, Troquer pour queue de poisson ses deux fesses plantureuses !
Mais la fée reste pantoise et, surtout, reste sans voix Et mes rimes maladroites n’ont pas donné de l’effet. Je crois que je vais l’aider si vous voguez de convoi Alors tous, concentrez-vous, j’en appelle à l’ÉCHO-FÉE !
L’oracle m’a répondu de manière inattendue ! Pour recouvrer une voix, il faut l’appel aux racines ! Toutes ces âmes en réseau dont le fil est si tendu Qu’il propage les échos de la sainte médecine.
Crois-en de toutes tes forces, retrouve dans tes mémoires Toutes tes âmes incarnées qui t’ont longtemps précédée. Elles sont toutes avec toi, gravées dans tous tes grimoires Et te rendent en cri de joie ce dont on t’a dépossédée !