Je me sens dans mon univers aussi fragile que du verre, Comme un poisson dans son bocal qui n’oserait pas s’envoler. Et les rêves les plus divers dans tous mes chemins de travers Me font tourner dans mon local comme des pensées convolées.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue.
Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
Trop de mots entassés dans des livres obscurs Cherchant la vérité pour trouver la lumière, Sont tellement enchâssés qu’ils en sont sinécure De plans d’obscurités qui retombent en poussière.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue.
Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
Après avoir passé le seuil si insignifiant d’une année, Je me demande souvent encore si le passage du portillon M’aidera à faire le deuil des échecs dont je suis vanné, Sauf si l’ange qui soutient mon corps se sert de l’effet papillon.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue.
Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
Il aime bien s’aventurer parmi les terres du passé, Là où sont ancrées ses racines, où ses parents se sont croisés. Tout ce qu’il a pu endurer, depuis longtemps, est dépassé Quand il rêve à ses origines aux souvenirs entretoisés.
Corto Maltese par Hugo Pratt avec, dans le fond, une carte où figure l’ancienne Arménie.
Si je t’aimais d’amour, je mettrais sur ta porte Les clefs de mes secrets, les clefs de mes trésors. Tu pourrais, chaque jour, là où le vent te porte, Consulter mes regrets, consulter mes remords.
Je te les ai données au cas où une absence Demanderait d’aérer et mon cœur et mon âme. Jamais abandonnées, j’y sens bien ta présence Qui s’y est avérée tout l’amour d’une femme.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue.
Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
Au premier temps de la danse, ce sont les réjouissances Qui agitent les flagelles de nos partenaires mâles ; Tandis que dans le silence attend dans l’obéissance Sur le seuil de la margelle l’œuf infinitésimal.
Dès l’envoi de l’ouverture, les deux danseurs sont en transe Et s’échangent leurs trésors pour des années de bonheur. Sous la tendre couverture, ils multiplient à outrance Les cellules dont l’essor font abondance et honneur.
Le moment fort de la danse, c’est lors de la délivrance, Prévu par l’échographie lorsqu’enfin l’enfant paraît. Cet instant de la naissance arrive en effervescence, Dans une chorégraphie qui, désormais, transparaît.
Puis recommence la danse dès la sortie de l’enfance Qui continue sa cadence jusqu’après l’adolescence. On recherche alors l’essence qui renverse les défenses Pour retrouver la puissance qui ressuscite les sens.
On choisit le partenaire qui vous rappelle le père Lorsqu’il courtisait la mère, celle qui l’avait laissé faire. Puis devant Monsieur le Maire, on forme alors une paire Pour une vie douce-amère mais que voulez-vous y faire ?
Encore un cœur à ouvrir et j’ai fini ma journée ! Il faut beaucoup de patience pour bien les amadouer, Mais c’est toujours découvrir une nouvelle fournée D’amour pétri de confiance et bien doré à souhait !
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue.
Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
Adam et Ève n’ont point été chassé du Paradis divin ! Dieu les a juste peints en noir et leur a éteint la lumière. Heureusement, avant l’été, Lucifer, un jour, les prévint Et, à la bougie, plein d’espoir, ils regagnèrent leur chaumière.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue.
Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
C’est comme un spermatozoïde à la recherche de l’ovule, C’est comme un rayon de lumière en quête de l’obscurité. Parfois le singe humanoïde cherche à s’extraire de sa bulle Pour abandonner sa chaumière et trouver sa maturité.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue.
Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
Chat va faire un bon moment que minet guette sa proie Après avoir lu la fable du Corbeau et du Renard. Il savoure, et comment ! L’instant où la belle voix De ce coucou si affable cherra dans son traquenard.
La grand-mère répondit : « Tire la chevillette et la bobinette cherra. » — Le Petit Chaperon rouge, Charles Perrault, 1697
Voilà ! Il fallait s’y attendre ! L’année dernière s’est écroulée Tellement elle fut chargée de problèmes déjantés. Gageons que celle-ci soit plus tendre, que tout va bien s’y dérouler Et qu’on va pouvoir recharger et son amour et sa santé.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue.
Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
Bel oiseau aux belles plumes, à chaque jour de l’année, Tu m’éveilles de ton chant et m’endors de tes romances ! Bel oiseau, ton porte-plume décrit de beaux vols planés Qui, dans le soleil couchant, font de belles performances !
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue.
Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
Il a mangé la folle avoine et le voici tout déplumé ! Il va s’envoler tout à l’heure et faire des acrobaties ! Il va survoler les pivoines, sans doute pour les allumer, Mais cette apparence est un leurre dans toute sa suprématie.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue.
Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
Dans la chat-l’année, on ne mange ni les oiseaux ni les souris, On fait la paix autour du monde et des bons repas entre amis. Dans la chat-l’année, on se range tous les malheurs et on sourit À l’amour qui vient et abonde dans les bras de sa petite amie.
Variante pour les filles :
Dans la chat-l’année, on ne mange ni les oiseaux ni les souris, On fait la paix autour du monde et des parlottes entre amies. Dans la chat-l’année, on se range tous les malheurs et on sourit À l’amour qui vient et abonde dans les bras de son petit ami.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue.
Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
Partout sur la planète, le nouvel an allume Dans la joie et les rires la couleur dans les cœurs. Antoinette et Jeannette mettent à fond le volume Pour, de tout leur sourire, vous enchanter en chœurs.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
Passé le seuil de cette année, il vous faudra bien oublier Tout ce que vous n’avez pas fait ou que vous n’avez pas su faire. Mais ce que le cœur a glané dans tous vos rêves inoubliés, Même si cela reste imparfait, sera une toute nouvelle affaire.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
Posez vos anciennes douleurs sur le seuil de l’année nouvelle ; C’est l’ange du mois de janvier qui vous en débarrassera. Puis, il vous oindra des couleurs dont votre cœur se renouvelle Afin que l’âme soit conviée à la beauté de son aura.
Peinture de Félix que je ne connais pas mais dont l’ange m’a paru très accueillant