Je viens souvent les approcher car elles ne sont pas farouches,
Ces jolies filles presque nues couchées là sous le cerisier.
Tout mon cœur leur est accroché et, sans que je ne les effarouche,
Elles me souhaitent la bienvenue en enlevant leurs chemisiers.
Je peux leur mordiller le sein, ça les amuse et les fait rire ;
Je peux leur tâtonner le ventre et peloter un peu plus bas ;
Bien m’installer sur leur bassin et leur déclencher des sourires
Jusqu’à en devenir le centre d’intérêt de tous leurs ébats.
Vous me croirez si vous voulez mais j’aime les jeunes filles en fleurs
Qui me caressent les moustaches et me chatouillent le menton.
Et je m’endors tout enroulé entre leurs jambes que j’effleure
En ronronnant car je m’attache à être leur petit chaton.
Tableau d’Andrey Remnev sur https:www.tuttartpitturasculturapoesiamusica.com201104andrey-remnev-moscow.html?m=1 .
Laisser un commentaire