Ô mon pays tourmenté sous les tempêtes hurlantes,
Je sens le souffle du vent qui hurle dans les campagnes.
L’essor expérimenté d’une fièvre harcelante
Porte ce monde devant un mirage de cocagne.
Mais, ami, n’entends-tu pas, par les monts et par les plaines,
Le chant de Mère-Nature parmi les fleurs et les bois ?
La Terre nourrit l’appât dont s’abreuve l’âme pleine
Et offre villégiature quand le cœur est aux abois.
Je n’ai plus peur de l’orage qui menace à l’horizon,
Je ne crains plus les hivers qui pétrifient de rancœurs.
Je reçois tout mon courage, qui me sort de ma prison,
Droit du feu de l’Univers qui résonne dans mon cœur.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
Laisser un commentaire