Parfois, quatre zèbres songent à percer mes rêves verts ;
Dans le flou de leurs rayures, ils s’immiscent dans les herbes.
Ils courent comme un mensonge dans les brumes de l’hiver
Et s’enfuient dans les rainures de mes vers et mes proverbes.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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