
Yavänor
Quatrième race, l’une des plus grande ; une civilisation brillante
Qui a atteint de hauts niveaux en sciences autant qu’en sagesse.
Grands maîtres en facultés psychiques et des énergies naturelles,
Grands inventeurs et créateurs par maîtrise de la connaissance.
Les premiers humains aboutis, tant au physique qu’au spirituel,
Leur reproduction sexuée leur a permis d’évoluer
Au point de devenir prospères, grands stratèges et grands architectes,
Grande puissance maritime et grands bâtisseurs de cités.
Les Atlantes étaient l’apogée des sciences technologiques
Telles qu’on en retrouve les mythes dans les traditions d’aujourd’hui.
Aztèques, Mayas et Incas, tous héritiers de leurs sciences,
Peuples indiens ou disparus, en ont conservé le génome.
L’Atlantide, leur continent – l’équivalent de l’Amérique –
Pesait son poids dans l’avenir de l’essor de l’humanité.
Mais un orgueil démesuré et une décadence notable
Ont défié la fureur des dieux et provoqué leur destruction.
Alors j’ai voulu régresser, aidé par Lilith et ses filles,
Pour en comprendre les valeurs et les raisons de leur déclin.
J’étais alors puissant et riche, l’espèce dominante de la Terre,
J’aurais pu ainsi devenir le plus grand peuple de la Lumière.
Mais je n’ai pensé qu’aux valeurs matérialistes et financières ;
Je n’ai pensé qu’à dépasser l’équilibre de l’Univers.
Alors les dieux nous ont punis par des catastrophes massives
Qui ont englouti en un jour ce continent d’ignominie.
Lilith
J’ai vu sombrer leurs tours de feu, leurs ports d’or et leurs cités vastes ;
Leur orgueil pesa plus que l’onde et fit ployer l’axe du monde.
Mais toi, porteur de leur fardeau, tu transmets leur flamme solaire ;
De leur échec jaillit encore un germe de splendeur ancienne.
Illustration de Ledal.
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