15. Les Chattes Mouillées

15. Les Chattes Mouillées

Yavänor
Parfois quand je fornique les chattes de mes épouses,
Elles deviennent fontaines ; je n’baise plus, je nage !
J’ai même bu leurs ruisseaux en broutant leurs pelouses
Car leurs sources frémissent au doux libertinage.

Laureline
Ta bouche se déchaîne et m’inonde la cuisse,
Mon clitoris gonflé s’ouvre comme une fleur ;
Je crie, je me répands, tout autant que je puisse
Et ma chatte t’inonde au flot de son ardeur.

Loreleï
Je m’agenouille alors, ma langue va chercher
La rosée qui ruisselle au bord de ton abîme.
Je lèche, je bois tout, je te sens t’écorcher
Et ma gorge se noie de ton nectar intime.

Laureline
Ton haleine se glisse au centre de ma fente,
Ton doigt perce et m’écarte, et ma chair se convulse ;
Ma chatte est un torrent, une marée violente
Et je jouis dans ta bouche où mon Étoile pulse.

Loreleï
Mais déjà ta caresse envahit ma toison,
Tu suçotes mes lèvres, tu farfouilles l’orifice
Et nos chattes jumelles éclatent à l’unisson,
Déversant dans ta bouche une mer de délices.

Laureline
Je me cambre en tempête et mes reins se soulèvent,
Ton souffle me pénètre et mon cul se déchaîne.
Chaque goutte jaillit de ma chatte qui s’élève,
Et mes hanches s’inondent d’une ivresse soudaine.

Loreleï
Ta langue dans ma fente est un glaive d’amour,
Je m’écroule en marée, ma fontaine m’inonde.
Tu fouilles et tu tâtonnes en pulsations glamours
Et mon cri retentit à l’orgasme du monde.

Illustration de Luis Royo.

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