
Élysäé, chanteuse de blues, possède l’étoile du cœur ;
Celle qui émet des spirales et des volutes bleu-azur.
Sa mère pourrait être jalouse ou l’écouter à contrecœur
Mais elle la trouve virale quand son sein lui bat la mesure.
Élysäé, chanteuse céleste, comme un ciel d’été clair et vif ;
Aux notes aiguës cristallines et aux tons graves veloutés.
La langue agile, rapide et leste qui pousse les sons explosifs
À faire fendre l’opaline d’un verre en cristal envoûté.
Élysäé, chanteuse du spleen, de la douleur qui s’insinue
De nos luttes et nos escarmouches, de nos souffrances et nos errances.
Une poussée d’adrénaline qui atteint son cœur ingénu
Qui suit chaque mise-en-bouche conne nos erreur d’itinérance.
Élysäé, chanteuse de charme, celle qui brise l’autorité,
Qui fait fléchir les endurcis et assouplit les durs de durs.
Une voix synonyme d’arme qui chante avec témérité
Pour éclairer les obscurcis de ce dont jouira le futur.
Illustration d’IA.
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