
Une femme nue ? Bouddha s’en fout ! Une femme offerte ? Bouddha s’en moque !
Alors que faire quand on est femme pour susciter son intérêt ?
Ce n’est pas par faute de goût ni que son cœur batte la breloque,
Bouddha n’a simplement pas d’âme-sœur et ni le cœur guilleret.
Sans doute que Yashodhara reste à demeure dans son cœur
Et dans sa mémoire aux fantasmes ; ce qui explique son sourire.
En effet sous les apparats d’un bon vivant un peu moqueur,
Le souvenir de ses orgasmes lui provoque toujours des fou rires.
L’un des fantasmes, rapporté par les légendes illégitimes,
Raconte que Yashodhara l’aurait caressé d’une plume
Qu’elle aurait passée à portée de ses parties les plus intimes
Ouvrant ainsi le nirvâna par une extase à plein volume.
Car dans le temple du désir, les échos entrent en collision ;
Le rire sacré de Bouddha évolue en nec plus ultra.
La plume, frôlant le plaisir, libère un flot de collusions
Pareilles à toute une armada d’adeptes du Kâmasûtra.
Tableau de Henry Clive sur https:americangallery.wordpress.com20120727henry-clive-1882-1960 .
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