
À moitié mathématicienne et moitié artiste visionnaire,
La femme a été préconçue comme une œuvre d’art éternelle.
On en trouve des traces plus anciennes dans toutes formes embryonnaires
De simple amibe à la sangsue jusqu’à la perfection charnelle.
Tout est courbures hémisphériques, asymptotiques, parabolique,
Géométrique, trigonométrique, algébrique et logarithmique.
Sans oublier les chimériques sciences jugées diaboliques
Des mesures anthropométriques de ses mensurations ethniques.
Tenter de pénétrer son âme reste un défi inextinguible ;
L’homme ne peut que se méprendre tant qu’il n’a pas le bon atout.
Celui qui trouve le sésame suivant la faille imperceptible
Qui mène à son cœur peut comprendre que les maths n’expliquent pas tout.
Tableau de Gizem Senkan.
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