

L’homme est un zèbre solitaire qui se déplace toujours en bande.
Rayé de noir ? Rayé de blanc ? On ne sait pas exactement.
Lors des ruées prioritaires, ils se livrent à des sarabandes
Et courent en se rassemblant à l’appel des accouplements.
Quand l’homme a rayé de l’amour la femme au cœur plein de rayures,
Celle-ci se confie aux oiseaux qui se nourrissent de ses pleurs.
Il était parti quelques jours, avait dit « à la revoyure ! »
Car il aime l’air dans les naseaux et galoper parmi les fleurs.
Tableaux de Sophie Wilkins sur https:m.vingle.netposts1297430 .
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