
Parfois le miroir est fêlé et ses reflets sont déformés
De l’autre côté de son tain décapé à la pierre à chaux.
Sans doute le verre descellé et son épaisseur difformée
Laissent voir un cœur de putain à la place d’un cœur d’artichaut.
« La belle Alice » devient « la laide » – celle dont le lapereau se tâte –
Les cartes à jouer sont transformées en cartes truquées sans les cœurs.
D’ailleurs, elle s’appelle Isalaide, son chat souffre de la prostate !
Lewis nous en avait informés ; parfois il rêve à contrecœur.
Collage de Tanya Mayers.
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