Tandis que courent les lièvres

Il ne faut pas courir deux lièvres à la fois ;
Ne pas viser deux buts sinon perdre les deux.
Mais si les lièvres courent de partout à la fois,
Je risque d’être imbu d’en sacrifier l’un d’eux.

Je ne peux pas passer par deux portes ouvertes
Et si elles sont fermées, je dois chercher plus loin.
Avec un œil ouvert sur chaque découverte ;
Les deux pour confirmer si j’en sens le besoin.

Mais deux lièvres à moitié n’en font pas un complet.
Un bon tiens ne vaut-il mieux que deux tu l’auras ?
L’amour doit être entier au risque d’incomplet
Comme celui si fertile de ma chère Laura.

Tableau de Masaru Shichinohe sur https://freewechat.com/a/MzUyMjQ0MjkwMw==/2247503907/1

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