
Lorsque je pense au labyrinthe des couloirs qu’emprunte mon âme
Où chaque mur a des oreilles et dont les yeux pointent aux fenêtres,
Mon troisième œil piste l’empreinte révélée par mon cœur en flammes
Qui ressent l’amour sans pareil de mes aïeux qui m’ont vu naître.
Tableau de Remedios Varo.
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