
J’ai connu tout un tas d’enfers pavés de bonnes intentions
Et je ne parle pas du pire qui ne me décevra jamais.
En même temps, je n’ai qu’en faire ; désormais je fais attention
À ne céder, pour un empire, aux dieux que l’on m’a déclamés.
Alors mes rêves me conduisent dans des paradis oubliés
Où les ruelles sont pavées d’intentions roses et nacrées.
Toutes ses portes me séduisent ; les bans qui y sont publiés
Annoncent les plaies délavées dans un amour pur et sacré.
Photo d’une ruelle de San Gimignano en Toscane et en Italie.
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