
J’aime marcher à pas de loup dans l’âme des forêts gracieuses
Et parfois surprendre un renard, une biche ou un écureuil.
Car j’ai un peu le pied jaloux de mes réflexions silencieuses
Et je m’estime bien veinard lorsque j’y rencontre un chevreuil.
Tableau « In the Woods at Georgenborn » 1932 de Gustav Cariot. Et je rencontre bien souvent les animaux que j’ai cités dans ma forêt d’Eschenberg car j’ai le pied léger à défaut de l’âme.
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