
D’abord il me faut redescendre depuis la plus haute des tours
Où l’esprit gouverne en silence dans son univers cloisonné.
Puis je prends la route du tendre, celle du cœur et de l’amour
Et enfin libre, je m’élance d’un mouvement irraisonné.
Photo de la merveilleuse ville de Chefchouen au Maroc.
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