L’ivresse des forêts

L’ivresse des forêts

Qu’importe l’essence des arbres pourvu que l’ivresse me prenne
Sous le charme mélancolique de la nature qui s’endort.
Cet hiver, je serai de marbre, alors il faut bien que j’apprenne
À ma matière métabolique comment conserver un cœur d’or.

Dans la forêt d’Eschenberg.

Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *