
Elle est toujours fugace sur sa petite reine
Et sa jupe à volants s’agite comme un mouchoir.
Mais jamais ne me lasse quand je la vois qui freine
D’un air affriolant assise sur son perchoir.
Ô ma belle helvétique, laisse-moi te coucher
Et brosser sur la toile cette féminité !
Presque nue, érotique, mon chef d’œuvre accouché
Ne laissant pour tout voile que ta virginité.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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