Du charme, de l’érotisme mais pas de la pornographie.
Ici, le verbe s’abandonne aux caresses, la métaphore se cambre, et l’extase devient poème.
L’érotisme n’est jamais cru, mais toujours cru·ellement délicieux — entre soupir et sourire, entre chair et lumière.
Ces vers s’ouvrent comme des corps consentants : pour frissonner, rêver, rire… et peut-être jouir de quelques images inoubliables.
Bienvenue dans l’intimité des Reflets où l’amour s’écrit en gémissements d’encre.
Lundi, c’est cours d’allemand et ça marche à la baguette ! J’ai commencé par les bases et puis j’ai approfondi. Cette langue également est faite pour les galipettes Et j’y découvris l’extase mais, tous les mots, confondis
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Viens avec moi sur la montagne, tout près du ciel j’ai ma maison ! Viens avec moi sur les deux monts, là-haut l’air pur y est si bon ! Viens avec moi, tendre compagne, viens passer la belle saison Dans la grotte où vit le démon qui sort si nous nous décidons.
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Il fait tellement chaud que mon cerveau se fond, Mes neurones fléchissent et ma moelle pendouille. Enlevons nos ponchos, enlevons nos chiffons, Que seule nous rafraîchisse une ondée qui nous mouille !
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Je règne sur un royaume de créatures de rêves Qui arborent leur costume en adoration pour Ève. Nous murmurons un idiome mâtiné d’étreintes brèves Qui perpétuent la coutume des tendresses sur la grève.
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J’adore le lundi matin car j’ai des rendez-vous charmants Avec toutes les jolies femmes qui se sont lassées du week-end. D’abord on se roule un patin avec un baiser désarmant Et puis on ranime la flamme jusqu’au jouissif Happy end !
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Sainte espièglerie féminine en forme du bouton poussoir, Posée sur son plus bel écrin, tu es là pour être montrée À l’admiration masculine dont le phallus fait repoussoir Lorsqu’il a redressé le crin pour s’en aller la rencontrer.
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Je sens bien qu’elle me prépare quelque chose à la façon Qu’elle a de tant remuer son corps de femme fatale. Il va falloir que je pare mon sexe en caparaçon Pour l’aider à commuer sa tourmente génitale.
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Sur un air de Paso Doble, son corps a virevolté, Offrant ses plus belles pommes à l’appétit aiguisé. Mais le meilleur du vignoble sur ma langue survoltée Fut la saveur de l’arôme de ses lèvres bilinguisées.
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En jouant à pile ou face avec ma petite amie, Elle m’a montré ses fesses à la lueur des bougies. Juste avant que ne s’efface l’envie sur le tatami Et que mon sexe s’affaisse, je lui ai fait du woogie-boogie !
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Juste avant d’aller me coucher, je l’ai un peu déshabillée Ou plutôt j’ai accommodé son étoffe en carte du tendre. Un joli buste effarouché sur ses beaux seins encoquillés Et sa culotte, démodée, ôtée car je ne puis attendre.
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Quand vous entendrez sonner l’onzième coup de l’horloge, Je vous en prie, revêtez votre plus tendre costume. Laissez vos seins rayonner quand vous atteindrez ma loge Pour m’offrir à satiété l’amour comme de coutume.
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Elle m’attend toute sombre, nue le soir au bout du quai, Juste vêtue d’une ombrelle pour se parer du soleil ; Alors je l’habille d’ombre pour qu’elle soit bien éduquée. Bronzée comme une zébrelle, elle me chuchote à l’oreille : « Reste un peu dans la pénombre, le soleil t’a ensuqué, Car l’instant est corporel et mon sexe est en éveil. »
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Joséphine a l’oreille fine quand je lui dis « mon amour ». Joséphine a le bassin qui soulève mes fantasmes. Joséphine est séraphine quand je lui fais des mamours. Joséphine a de beaux seins quand elle atteint son orgasme.
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L’as-tu vue dans l’escalier, Valentine ma copine ? L’as-tu vue sur le palier, Valentine la coquine ? L’as-tu vue dans le couloir, Valentine galopine ? Elle est nue pour me vouloir, Valentine me taquine !
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Ce jour de la chandeleur, je mets ma copine à poil. Avec sa taille de guêpe, elle ne se fait pas prier ! Elle est déjà en chaleur et j’ai décroché la poêle ; Quand elle se mêle de crêpe, j’ai le pied à l’étrier.
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Quand le matin elle se lève, elle me parait une montagne Avec deux monts qui m’apostrophent et ses deux pics qui me culminent. Il va falloir que je m’élève et que je batte la campagne En écrivant deux ou trois strophes pour honorer cette gamine.
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Au moment où les rêves se mélangent au réel, À la pointe du jour quand la nuit se termine, La souvenance est brève de l’instant surréel Des fées à contrejour dans leur robe d’hermine.
Je me retrouve nue sur un monde isolé, Habillée de lumière, auréolée de l’aube. Je me sens soutenue, comme camisolée Par les rais de poussière qui quadrillent le globe.
Puis, c’est l’inattendu, fruit de la nuit obscure, Comme si l’ombre accouchait d’un ange libérateur. Né d’un fruit défendu, conçu par la piqûre D’un songe qui débouchait sur un procréateur.
Ô mon Prince de nuit aux faisceaux consacrés, Je t’entends approcher depuis bien trop de temps ! Voici, la nuit s’enfuit devant l’aube sacrée Moi, pour te raccrocher, je t’attends en chantant.
Que les nimbes m’enlacent, que les songes couronnent Le passage des rêves à la réalité ! Je m’adresse à la classe des chamanes huronnes Pour que l’hymen se crève en sensualité !
La mode, au prochain été, ce sera simple et dégagé ! Un petit caraco très court et des chaussures un peu montantes. Tout le reste n’est que vanité et ne saurait avantager Le haut des seins, qu’un bon discours, si la cliente est consentante…
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Ce qui est bien aux bains de minuit c’est qu’on n’a pas besoin d’y voir ! Il suffit juste de palper un peu comme à colin-maillard ! Aucun problème, aucun ennui, aucun temps mort à concevoir, N’ayez pas peur d’être scalpée, je suis un honnête gaillard !
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Ma femme, c’est une lumière à contre-jour, à contretemps ! Elle m’en fait, de toutes couleurs, voir le matin, boire le soir ! Paisiblement, dans ma chaumière, je suis devenu entretemps Son érotique souffre-douleur et son intime trémoussoir.
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Je lui dis précipitamment qu’elle peut aller se rhabiller. Elle se lève mollement et se tresse ses longs cheveux. Puis elle se met ardemment à vouloir me déshabiller. Moralité, finalement, c’est rester à poil que je veux !
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C’est incroyable, le temps qu’elle passe à se mater dans le miroir ! Avant, quand elle s’habillait, elle y passait des heures entières. Maintenant, ce qui me tracasse, c’est qu’elle est à poil tous les soirs Et je vous en fiche mon billet, c’est encore pire qu’avant-hier !
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Un rien l’habille, ma copine ; une chaussette ou bien un bas ! Un rien l’anime, ma voisine ; un petit geste attentionné ! Un rien l’amuse, ma galopine ; une caresse de haut en bas ! Un rien la charme, ma poupine ; juste un désir intentionné !
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J’ai trouvé son reflet si joli à mirer, J’ai trouvé sa lumière si précieuse à saisir, Que j’ai cru, ce pamphlet, bon à être admiré Écrit à la manière d’un sonnet de plaisir !
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L’oiseau de feu renaitra, tel le phénix de ses cendres, Car la méthode ancestrale est un secret bien gardé ! Seule l’initiée connaitra comment le faire redescendre D’une façon magistrale que vous pourrez regarder !
Ce n’est possible qu’aux femmes ; les hommes n’y ont pas accès Car il faut une matrice pour enfanter l’œuf de feu. Tous les profanes infâmes qui ont pourchassé en excès Cette folie tentatrice, ont depuis lors fait long-feu.
L’initiée doit être nue durant trois ou quatre jours, Sentir sa peau et son corps se fondre dans la nature. C’est lorsqu’elle sera devenue accoutumée pour toujours, Qu’elle surgira du décor, apprêtée pour l’aventure.
Pour commencer faire un feu en alignant quelques pierres Sous un ciel de pleine lune, juste avant le crépuscule. Vous mettrez en contrefeu, taillées avec la rapière, Quelques pousses de callune nouvelles et minuscules.
Sentez les flammes adorer votre peau sans la brûler ! Ressentez les reflets d’or vous vêtir comme un costume ! Laissez l’habit vous dorer d’étincelles sporulées ! Guettez l’appel du condor comme un dernier cri posthume.
Ouvrez vos jambes au vent, laissez-le vous pénétrer Et vous inonder le sexe jusqu’au fruit à enfanter. Dans un orgasme innovant, il va vous administrer Une émotion si connexe qu’elle peut vous épouvanter.
Massez-vous fort les mamelles pour nourrir l’apparition ! Plissez bien les aréoles dans un regard enjoué ! Chassez tout esprit rebelle en voie de disparition ! Faites tinter vos créoles, là ! C’est à vous de jouer !
D’une nudité surgissant comme du plus profond d’un trou noir, D’une énergie fertilisante d’après un écho orgasmique, D’un amour complet rougissant d’amoureux sur la patinoire, Mes délices euphorisantes sont une création cosmique !
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Une lame effilée qu’on remet au fourreau, Qu’on sort et qu’on remet pour lubrifier le fil, Illico la brandir par la main du bourreau Pour goûter le fumet aussitôt qu’on l’enfile.
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Lorsque je fus invité sur l’île de Robinson, Jamais je ne m’attendais à trouver tant de beauté. Avec affectivité et un fugace pinçon, Cette indigène ascendait à se faire tressauter.
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Un matin, couleur de brume, l’herbe perlée de rosée, Sous un ciel nacré d’aurore, satiné de zéolithe ; Dans une forêt qu’embrument mes songes encore arrosés Des souvenirs qui pérorent d’une rencontre insolite.
Un petit éclat de rire. Un accident imprévu. Comme un oiseau qui s’ébat dans un fol amerrissage. Juste aidée de mon sourire que je n’avais pas prévu, Me voici dans un débat, fort joli d’apprentissage.
Juste au bord sur les galets, la bicyclette étendue, Une cycliste accroupie qui se relève d’un bond. Comme sur un chevalet, peint sur la toile tendue De mes fantasmes assoupis, le mirage pudibond.
Vêtue de robe légère d’une étoffe de nuage, Elle se tient devant moi dans un désordre impérieux. De beaux seins sous la lingère fixant l’avenir suave Et des yeux tout en émoi d’un passé mystérieux.
Je lui propose mon bras pour la retirer de l’onde. Elle retire sa robe pour la sécher au grand jour, Et puis « abracadabra ! », avec sa langue faconde, La voilà qui se dérobe en me souhaitant le bonjour.
Elle enfourche sa bécane, nue dans son costume d’Ève En dandinant son derrière sur gerbe de fleurs sauvages. Je reste seul sur mes cannes, avec sa robe sur la grève Tout en restant en arrière, confondu sur le rivage.
Elle avait l’air renfrogné et des seins bien tristounets, Une moue mal dessinée sous cet austère visage, Un regard bien grognonné à cause d’un camerounais, Ou je ne sais quel minet, qu’aurait raté son baisage.
Un pauvre abrupt laideron qui ne croyait plus à l’amour, Qui fermait sa porte à clef et son cœur à double tour ! Mes amis, nous aiderons cette femme en désamour, Cette ode à l’amour bâclé aujourd’hui et sans détour !
En chemin, à l’improviste, par un sombre jour de pluie, Je m’arrangeai pour croiser la dame sans parapluie. Comme j’étais positiviste, pour contourner la sévère Et pour mieux l’apprivoiser, je lui déclamais mes vers :
« Femme étrange, ton image fait remonter de mon cœur Mille mots, mille pensées que je veux coucher sur l’heure ! Je veux faire de ton grimage, un sonnet des plus vainqueurs Dont les vers, sans t’offenser, vibreront de mots hurleurs ! »
Je l’ai mise sur mon lit et j’ai ôté ses habits, J’ai aussitôt fait rimer ses seins, ses cuisses et son sexe Dans des strophes embellies et du plus bel acabit. Lentement, ma déprimée devenait un peu perplexe…
Il me fallut une nuit entière de poésie Pour redonner le sourire à la belle désabusée. Mais j’ai vu, après minuit, émergeant de l’amnésie, Sa vraie beauté accourir sans en avoir abusé.
Je l’ai souvent vue assise toute nue sur sa terrasse, La geisha aux trois couleurs, rayonnante de lumière. Dans cette pénombre grise d’où se détache sa trace Me laissant mille douleurs dans mon cœur chargé de pierres.
Ses mouvements en cadence jouent musique dans l’espace ; Une expression artistique de figure féminine. Regardez quand elle danse, regardez quand elle passe ! Quand ses bras en élastique jouent la jolie figurine.
Un sein rond couronné d’or, un sein lourd auréolé Sous deux épaules au soleil qui en caresse les dunes. Au moment où je m’endors d’un esprit « Olé, Olé », Je rêve à ces deux merveilles que je tète sous la lune.
Quand la geisha se repose, ses trois couleurs se mélangent Dans une teinte d’albâtre lumineuse de la nuit. Quand la geisha tient la pose, sa peau, blanche comme un ange, M’appelle et je dois combattre mes cauchemars de minuit.
De l’aurore au crépuscule, ma geisha sonne l’accord Par les reflets des rayons qui dessinent mille gestes. Majuscules ou minuscules ? Le langage de son corps Brouille et corrompt mon crayon et mes rimes font le reste.
Ma voisine d’en face est une vraie sirène. Dès les premières gouttes, elle se déshabille Puis, vient sur sa terrasse, apaisée et sereine, Sous la pluie qui m’envoûte en pure jeune fille.
C’est pour moi qu’elle danse nue devant ma fenêtre Pour m’aimer en silence sans rien laisser paraître. C’est pour moi qu’elle ondule son corps qui vient de naître Pour m’extraire de ma bulle, je dois le reconnaître.
Ces gouttes de plaisir qui glissent sur ses seins, Qui mouillent sa plastique, qui perlent aux mamelons, Qui ruissellent à loisir jusqu’au creux de ses reins, Qui nettoient et astiquent jusqu’au bout des talons.
Mais lorsqu’elle s’allonge en écartant les jambes Pour jouir de l’extase du flux et du reflux, Je crée une rallonge que l’onde me détrempe Et mon cœur est en phase et l’amour y afflue.
Mais lorsque l’arc-en-ciel irradie ses cheveux Et que le soleil perce à enflammer son corps, Cette danse essentielle s’arrête sur un aveu : J’apprécie les averses et encore et encore !
Comme il pleuvait aujourd’hui, j’ai proposé à ma blonde D’aller la promener nue sous cette pluie torrentielle. Elle s’est déshabillée, s’est précipitée sous l’onde En s’aspergeant avec joie de cette eau providentielle.
Elle est fille de sirène et la mer est son berceau ; Elle a les yeux de sa mère et sa longue chevelure. Elle est née fille des vents sous le signe du verseau ; Elle a la bouche de son père et sa fine dentelure.
L’eau est son besoin vital de particulière essence ! Il lui faut de l’eau du ciel pour fournir sa subsistance. La moindre ondée lui déclenche une crise d’effervescence ; Elle va promener nue sans peur et sans résistance.
Il faut la voir se vautrer dans les flaques avec délices, L’eau gouttant de ses tétons comme fontaine ineffable ! Arquant son bassin sacré comme happé par une hélice Vers les cieux condescendants et leur protection affable.
Pour la soustraire aux regards des curieux indésirables, Nous habitons près d’un lac dans la Cordillère des Andes. Moi, je guette les nuages dans ce repaire admirable Et j’engendre les orages avec ma verge gourmande.
Chaque fois qu’elle s’accoude au rebord de la piscine Et que ses seins généreux défient l’anti gravité, Mon regard, pourtant hautain, retombe au pied des glycines, Soumis à leur tentation et leur attractivité.
Seuls peuvent rivaliser ses beaux yeux myosotis ; Cette flamme bleue intense qui m’impose le silence ; Tandis que ses mamelons n’ont pas besoin de notice Pour m’ordonner le respect fors de cette ambivalence.
Mais la sirène est muette et ne sait dire « je t’aime » Elle ne sait que sourire et hypnotiser ses prises. Ça commence par les yeux, son plus précieux système, Et s’achève par les seins dans une double surprise.
Pour apprivoiser la nymphe, il faut passer par derrière, Prendre les seins dans ses mains et les masser tendrement. Lorsqu’elle ferme les yeux, ne pas faire machine arrière Et l’embrasser sur la bouche un peu plus allègrement.
Beaucoup d’hommes ont essayé et beaucoup d’hommes ont péri. La sirène n’admet pas qu’il puisse y avoir un faux pas. Si j’ai su plaire à son cœur contre toutes intempéries C’est en lui goûtant son lait et savourant ce repas.
Créatrice éphémère d’un univers sans fin, Amoureuse éternelle des anges butineurs, La Madone aux étoiles étreint jusqu’aux confins Du firmament de glace ses amants patineurs.
Un jet de lait furtif cristallise le fruit ; J’en observe la trace une nuit sans étoile ! Les saintes mamelles ont le goût de l’usufruit Qui nourrit ses enfants et les couvre de toiles.
Si Dieu est féminin aréolé de saints, Je demande à goûter encore la jouissance De ses seins nourriciers qu’Il me montre à dessein Mais avec la tendresse de sa magnificence.
La Madone est ainsi, amoureuse éternelle ; Et plus je le redis, plus j’apprécie l’extase D’un amour ineffable, tendresse sempiternelle, Qui conseille et conduit mon âme vers l’épectase.
Enfin, c’est là que j’aime aller aux quatre vents Quand mon esprit n’est plus qu’un souvenir de braise. Que m’importe d’user mon corps à contrevent Si l’ivresse m’élève comme un alcool de fraise.
Elle s’appelait Vilaine, jamais je ne l’oublierai. Quand elle me regardait de ses jolis seins pointés, Pour me préserver les yeux de leur éclat déliré, Je les fermais chaque fois à mon cœur désappointé.
Pour préserver cet amour et le nourrir chaque jour, Je ne devais pas lever le regard sur sa beauté. Je me fiais à l’odeur qui fusait à contrejour De ses mamelons fleurés sur sa gorge chapeautée.
Mais un soir au crépuscule, d’une passion trop intense, J’ai osé la regarder pour mieux la mémoriser. Ses deux tétons turgescents étaient de telle importance, Qu’ils brillaient comme un soleil pour mieux me martyriser.
Aveuglé par l’éminence de la poitrine obligeante, Je baladais à tâtons ma main entre ses tétons. C’est ainsi qu’en pétrissant cette chair encourageante, Je l’ai gravée en partant avec mes petits petons.
Aujourd’hui j’y vois plus clair mais la cicatrice reste Et quand je ferme les yeux, il m’apparait le fantôme De ces mamelons avides à l’émergence si preste ! Et l’empreinte restera comme un cruel hématome.
Belle à peine ingénue émergeant de mes songes ; Hier encore sirène, aujourd’hui faite femme. Comme un arbre au printemps chargé de faux mensonges, Portant ses fruits de vie fors que mon cœur affame.
Deux yeux pour m’observer, deux yeux pour me nourrir, Une bouche à sourire, une bouche à plaisir. Sauras-tu contenter mon cœur prêt à mourir ? Sauras-tu me séduire au-delà du désir ?
Si souvent j’ai rêvé de ton visage tendre ! Tu courrais avec moi accrochée à mon bras. Si souvent j’ai prêté une oreille à t’entendre Rire de mon malheur quand mon âme sombra !
Mais tu as su plonger dans mes troubles abysses, Me prendre par la main lorsque je me noyais Et puis me ramener sur la rive propice Pour pleurer avec moi quand je m’apitoyais.
Sans prononcer un mot et sans faire un seul geste, Tu as su exprimer une chanson d’amour. Juste avec ta poitrine, tes hanches et tout le reste, Tu as su ranimer une flamme d’humour.
Nu dans mes pensées infimes, nu dans mes désirs ultimes, Je ne porte pas de masque ni la défroque des moines. Nu dans mes gestes usuels, nu jusqu’à mon âme intime, Je m’évade de la masse en me chamarrant la couenne.
Je saurai vous mettre à l’aise sans souci et sans complexe ; Je ne porte aucune arme, c’est là que réside le charme. Laissez-moi donc vous séduire par la valeur de mon sexe ; Allongez-vous sur mes vers et ne versez pas de larme.
Pendant que je vous déshabille, fermez les yeux en confiance. En ôtant votre corsage, respirez bien en détente. Tandis que glisse la jupe, ouvrez la bouche sans méfiance. Quand j’enlèverai la culotte, souffrez qu’un geste me tente.
Après avoir fait l’amour plusieurs fois dans la journée, Quand je vous aurai séduite et convertie à mes rites, Vous prêcherez ma parole, nue durant votre tournée, Tout en montrant votre corps et ses appâts émérites.
Je vous écrirai mes vers, le phallus dans votre bouche ; Je vous chanterai mes rimes en vous caressant les seins ; Vous m’inspirerez souvent pénétrée sur votre couche ; Vous brûlerez mes vaisseaux en créant de beaux desseins.
À son sommet coiffé comme une capucine On devine le roc fort comme un membre bandé. J’entends souffler l’amour dans les nues abyssines Sur les monts éthiopiens en soupirs gourmandés.
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Prendre ses bains debout n’est pas très salutaire. Prendre des bains de boue, c’est un peu terre-à-terre… Archimède a trouvé qu’en plongeant son corps nu Les femmes ont envie de téter sa cornue.
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Elle est entrée sans bruit ; je n’ai rien entendu. Quand j’ai ouvert la porte de la salle de bains, Elle était toute nue comme de bien entendu Et parlait espagnol avec l’accent cubain.
« Te amo mi amor » m’a-t-elle susurré En écartant les jambes et me tendant les bras. Moi, je bandais à mort pas très bien assuré, Je lui ai répondu « yo también, me encanta! »
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À force de changer de couleur et de peau, À force de fêter des Noël toujours blancs, J’ai envie d’enlever le rouge de mes pots Et si ça ne suffit pas, je secouerai des glands !
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Le 22 décembre, j’apporterai ma hotte ; Le 23 décembre, je chaufferai ton feu ; Le 24 décembre, j’ôterai ta culotte ; Le 25 décembre, je t’aimerai un peu…
Le 26 décembre, tu es un peu salope ; Le 27 décembre, je t’aime un peu, beaucoup ; Le 28 décembre, tu me trompes Faloppe ; Le 29 décembre, je n’t’aime plus du tout !
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Un peu de paix, un peu d’amour et de douceur ; De l’espérance, des promesses qu’il faut saisir. Beaucoup de joie et de plaisir et de chaleur Dans la belle nuit de Noëlle et ses désirs.
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En cette belle fin d’année, pleine de promesses d’amour, Que la joie recouvre sa place comme une corne d’abondance. Par cette carte je t’embrasse avec les saints de tous les jours, Pour t’apporter un peu de moi et pour bénir ta descendance.
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Je t’envoie tous mes meilleurs vœux Et surtout ces deux seins magiques Qui veilleront sur tes cheveux Et rendront tes nuits énergiques !
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Quand je vois tes jolies boules et tes charmantes guirlandes, Mon bel arbre de Noël, tu es vraiment la plus belle ! Dès que minuit sonnera, j’ôterai ta houppelande Et décorerai ta crèche de mon goupillon rebelle !
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J’ai décoré mon sapin avec quelques mots d’amour. J’ai accroché mes pensées à ses rameaux grand-ouverts. 365 bougies qui brilleront tous les jours. 365 baisers de mon cœur à découvert.
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Tous tes souhaits de Noël seront ensemble accordés. Je t’envoie mille présents à déballer chaque jour. Chaque jour je te dévoile l’amour qui a débordé Pour te donner de la joie à chaque heure et pour toujours !
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Marie Noëlle, reine des fées et des forêts Que j’aime ta nature et surtout ta parure Lorsque tu la mets sur le valet, en bois décoré, Et que tu m’offres tes deux seins boules et ta jolie cambrure !
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