Ce sexe en conque de bulot ou bien en corne d’abondance
Est à la femme mystérieuse un secret venu de la mer.
Il demande un peu de culot pour lui faire ses confidences
Et entrer dans la luxurieuse caverne aux plaisir doux-amer.
En forme de queue de sirène qui gobe d’un coup de morsure
Le marin, aussitôt happé aux profondeurs de l’océan,
Qui connaîtra sa fin sereine dans une petite mort sûre
Mais au milieu de priapées avec orgasmes bienséants.
Dans chaque femme une sirène surveille au fond de ses quartiers
Le membre imprudent du malin pénétrant la chambre à coucher.
J’en connais une, nommée Irène, qui dès que vous lui écartiez
Les jambes en quête d’un câlin, vous avalait d’une bouchée.
Tableau de Rafal Olbinski.



















































