
Les fenêtres ont du cœur lorsqu’elles se referment
Sur l’amour des amants pour leur intimité.
Puis les gonds font les chœurs lorsque jaillit le sperme
Qui fera la maman en magnanimité.
Les fenêtres ont du corps quand elle crie « encore ! »
Et que l’amant revient remettre son ouvrage.
On compte les records, on compte les accords,
Les coups en va-et-vient, les coups qui encouragent !
Les fenêtres sont frivoles quand elles laissent entendre
Les soupirs de Madame et ses gémissements.
Parce quand on convole, on s’aime, c’est si tendre,
Qu’on fait tout un ramdam lors des jaillissements !
J’ai écrit ces quelques lignes en chantonnant la très jolie chanson « Les fenêtres » de Jacques Brel.