Dans le creux de la vague, je dois savoir attendre Que la marée remonte pour me raccompagner. Bougonner en zigzag dans ma cervelle tendre Ne fait pas le bon compte qui me fera gagner.
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Le meilleur moyen salutaire pour bien garder les pieds sur terre, C’est de les avoir tatoués d’une manière intemporelle. Ne soyez jamais tributaires des traditions totalitaires Et oser enfin l’avouer : « Vive la peinture corporelle ! »
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À la première pensée d’amour qui, du profond du cœur, s’élève, Je me reconnecte à la cime pour capter les bonnes nouvelles. Ah quel beau matin que ce jour, qui fête en prenant sa relève L’anniversaire sérénissime par ces bouquets qui s’échevellent !
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Au-delà des nuages sur la voute céleste, Naviguons au zénith par-dessus l’horizon. Par-delà les orages, lâchons un peu de lest ! Si l’île est interdite, nous nous l’autorisons.
Car la clef est cachée sous le banc de corail Qui affleure au levant quand l’aurore sourit. Dieu ne sera pas fâché qu’on soit dans son sérail ; Notre acte est relevant de l’appui des houris.
Houris : créatures célestes qui seront dans le paradis les compagnes des fidèles.
Mais qu’est-ce qu’il est voyeur ce pont à mater ainsi les gambettes En regardant sous les jupettes des demoiselles court-vêtues ! Ce vieux connaisseur en jupons guette un petit coup de tempête, Un petit vent d’entourloupette qui lui dévoile leurs vertus.
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Quand vous serez rassasiés d’avoir satisfait votre corps, Entrez donc pour faire l’amour dans ma maison en pain d’épice. Vous pourrez y paradisier aujourd’hui, demain et encore En buvant un philtre d’humour qui, paraît-il, est un délice !
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J’ai des lunettes à la Monet qui vous ravivent les couleurs Et vous poussent à imaginer votre quartier impressionniste ! L’effet d’un regard ramoné se réalise sans douleur À condition d’oxygéner sa nature exhibitionniste.
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Si vous avez pris le tunnel que j’avais ouvert récemment, Vous vous retrouvez à la plage dans un lagon plein de beauté. Vous n’en croyez pas vos prunelles mais vous allez incessamment Remettre à nu votre pelage et tous vos vêtements ôter.
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Il y a cent mille ans aujourd’hui que la nature se prépare À accueillir ton arrivée d’un festival ombellifère. C’est avec joie que j’introduis ce dont la création se pare Pour l’instant popularisé de ton heureux anniversaire.
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Prenez un doigt de curaçao frappé dans une belle coupe, Ajoutez des cubes de glace moussés d’un peu de chantilly, Cristallisez quelques morceaux de chocolats sur la soucoupe. Vous êtes en première classe ; ce cocktail vous réconcilie !
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Prêt à partir, entre deux mondes, je vais apprendre à me glisser Entre cet horizon d’azur et cette frontière liquide. Avec ma barque vagabonde qui fait les vagues se plisser Juste à l’instant de l’embrasure des perspectives intrépides.
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Avec ma nouvelle antenne, je vous reçois cinq sur cinq ! Je vous reçois dans vos pleurs, je vous reçois dans vos larmes, Je vous reçois dans vos peines, quand vous buvez sur le zinc, Quand le mal prend de l’ampleur et qu’alors sonne l’alarme.
Aussitôt au fond de l’eau, il se passe quelque chose. Lorsque tout semble perdu, une énergie vous soulève. Quand c’est la fin du rouleau, alors la vie devient rose ; L’ange gardien éperdu redevient un bon élève.
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Et si l’on changeait de maison, selon l’humeur, selon le temps ? Pour les dimanches, la Maison Blanche et lorsqu’il pleut, la maison bleue. Des maisons vertes de saison, des maisons d’un rouge éclatant, Et pour les fêtes, de belles planches, peintes à la couleur de tes yeux !
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Sous la canicule écrasante je rêve de panoramas Avec glaciers et neige blanche en sorbet ou en chantilly. Une étendue dépaysante comme le mont Fujiyama Aux cavaliers en avalanches… Ô gloria mirabilis !
Sous la pleine lumière des chaleurs indicielles, Quelques moutons passaient avec leur laine rêche. La brume la première à recouvert le ciel Que le temps embrassait avec l’haleine fraîche.
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Comme je voulais t’enlever pour t’emmener au firmament, J’ai ouvert un tunnel floral en direction de nulle-part. Il m’a suffi de soulever une pensée pertinemment Pour créer l’effet pastoral qui, au paradis, nous prépare.
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Pour augmenter vos ambitions, tatouez-vous des arabesques, Étirez la ligne de chance bien au-delà de l’impossible. Tranchez dans vos inhibitions de manière rocambolesque, Reliez l’argent en puissance à une ligne de vie extensible.
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J’ai des milliers de jours, là, devant ma fenêtre Aux couleurs s’adaptant aux caprices du temps. Une année, c’est toujours un moment pour renaître J’irai les adoptant pour un autre printemps.
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Dans son habit de rouille, la vieille souche pense Au temps où elle était reine sur les bois et forêts. Les pousses en vadrouille, sur elle, se dépensent Et la mousse sereine vient s’y faire dorer.
Et la rouille a déteint sur la robe souillée Couverte d’un bonnet de sylve patronnesse. C’est la vie qui s’éteint sur le tronc dépouillé, C’est la vie qui renaît par des fleurs de promesse.
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Pierre Fontaine est le lutin qui jaillit dans toutes les sources. Il vous chantonne à cœur joyeux lorsque vous buvez de son onde. Lorsqu’il pleut, il devient mutin et fait prospérer ses ressources, Mais sur les chemins rocailleux, il vous offre son eau féconde.
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Dans l’univers, tout est octave, tout est musique de la vie. Du minéral au végétal, de l’immobile jusqu’au vivant. Même la nature à ses claves et même les lutins octavient Pour fêter ce fondamental anniversaire, et les suivants…
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Depuis que j’habite les pentes, je suis un peu comme un dahu ; J’ai les jambes plus courtes à droite et, celles de gauche, prolongées. Depuis la cuisine j’arpente pour remonter jusqu’au bahut Et comme mes cuisses sont maladroites, je vis tous les jours déhanché.
Le dahu est un animal sauvage imaginaire vivant dans les zones montagneuses dont les pattes sont plus courtes d’un côté que de l’autre.
Toutes les civilisations se sont élevées sur la Terre, Mais le pouvoir et l’ambition ont toujours dominé les hommes. Quelle que soit l’utilisation de l’argent des propriétaires, Cela provoque l’inhibition de toute la planète en somme.
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La Terre a toujours l’œil ouvert sur le monde et ce qui l’entoure, Avec le matin des couleurs qui changent au cours de la journée. Le soir, elle a tout découvert, partout, à tous les alentours ; Et elle, endormant ses douleurs, attend sa prochaine tournée.
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Décidément sur mon chemin toute la faune est insolite ; Ce papillon se régalait du nectar d’une fleur offerte. Il ne s’occupa point de mes mains qui ramassaient des chrysolites Et rien ne pouvait égaler l’ivresse qu’il n’aurait pu soufferte.
Un peu d’ébène sur le corps et d’acajou dans son panache, Il m’a surpris sur un chemin que j’avais pris par intuition. Mon écureuil, trinquons encore dans une coupe de grenache Et buvons à nos lendemains sans trop leur prêter attention !
Des projections sempiternelles issues des spirales du temps Sont à mon cœur le doux roman qui développe mes envies. Combien de volutes éternelles, combien de cercles débutants Produiront le couronnement de ce qu’accomplira ma vie ?
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Aussitôt entré dans le pont, je n’en vois plus que son issue. Je ne sais plus comment c’était avant même d’y pénétrer. Plus rien même ne correspond, ni le décor, ni le tissu Et je n’y vois se refléter que des mirages fenêtrés.
Joli pont couvert de Brunibrug à côté de chez moi vu de l’intérieur.
J’ai traversé le pont « La vie » comme on traverse une existence. Tout d’abord avant d’y entrer, j’y ai repéré la sortie Pour ne franchir ce pont-levis qu’en connaissant sa consistance Et je me suis bien concentré pour avoir une vie assortie.
Joli pont couvert de Brunibrug à côté de chez moi.
Je me suis trouvé nez-à-nez avec le bouffon des forêts Avec son petit air mutin comme une fille un peu coquine. J’avais juste un peu ahané en remontant jusqu’à l’orée Et je bâtis ce fier hutin à l’image qu’il acoquine.
Vaille que vaille, tombent les gouttes comptabilisées par le temps. Jour après jour à leur écoute, je les apprécie toutes autant. Toujours j’entends, toujours je goûte, chaque moment est important. Sereinement, coûte que coûte, après la pluie vient le beau temps.
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L’avait la tête couronnée, le crâne lisse comme un caillou, C’était le roi de la forêt qu’on appelait « Sa Majesté ». L’avait été bûcheronné par une bande de voyous Et je ne puis que l’honorer avec mon poème attesté.
J’aime quand la route s’élève comme un tremplin vers l’Élysée, Ce Mont Olympe où Dieu m’attend sur les glaciers froids du Léthé. Toujours plus ou moins bon élève, juste assez évangélisé, Ma foi chemine en augmentant quand sonne la fin de l’été.
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Dans les soirées de fin d’été, je ressens l’engourdissement Qui fourmille dans les colchiques qui se dandinent dans les prés. Le temps semble se répéter comme un long étourdissement Qui mène sa cour monarchique dans ses paysages diaprés.
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Combien de fois ai-je entendu que la spiritualité n’est plus Qu’un vieux chemin abandonné qui n’est que ruines et désuétude ? Mais qui sait voir la main tendue dont l’amour n’a jamais déplu Qui sait non seulement pardonner mais accorder mansuétude ?
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Et si toute l’humanité était un immense réseau Où les âmes circuleraient en portant toutes ses mémoires ? Et si la masculinité se transformait en chants d’oiseaux Que les femmes intituleraient « Échos d’amour » dans les grimoires ?
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La montagne chausse ses lunettes pour porter un nouveau regard Sur l’eau qui fait de longs métrages sur les histoires de la vie. Parfois c’est du bois d’allumettes qu’elle aperçoit d’un air hagard, Parfois de beaux kilométrages qui lui donnent cet air ravi.
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Chaque jour est la pierre qui s’ajoute au château, Chaque nuit fait briller les lustres et les chandelles. Tes années sont derrière comme un doux vibrato, Les plus appropriées sont celles qui se modèlent.
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Les oranges pressées, sur la petite reine, À vitesse décoiffée, vont rincer les gosiers. Et les citrons pressés ne sont pas à la traine Pour les gens assoiffés à l’ombre des rosiers.
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Ceux qui lisent dans le marc de café doivent le lire un peu serré ! Quant à moi, c’est dans les reflets que je perçois le temps qui passe. Je n’ai pas besoin de gaffer ; mon public n’est pas ulcéré ; Et si l’eau trouble mes pamphlets, c’est même aussi très efficace.
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Le printemps était en retard, l’été a loupé son entrain, Les colchiques n’ont pas percé que l’automne est prématuré ! À force de mouiller les pétards au fil des climats précontraints, On va voir les ours traverser les terres villégiaturées.
L’été, arrivé en retard, risque d’avoir un peu d’avance Alors je m’en vais recueillir quelques clichés pour l’avenir. Si nous voulons rester fêtard sans payer trop de redevance À l’hiver de s’enorgueillir, gravons nos meilleurs souvenirs.
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Le printemps m’avait apporté tous ses prémices ; Moi, j’en développais, dès l’été, mes prémisses. Car j’étais amoureux, au début peu ou prou, D’une fille si belle comme figure de proue.
Ses yeux lançaient des ondes d’un intime radian, Je les captais si fort d’un cœur à cœur radiant. Je l’emmenais souvent à l’étang aux rainettes L’invitant à croquer quelques pommes reinettes.
À chaque heure du jour je lui donnais rencard, Tellement j’avais peur qu’elle me mette au rancart. C’est comme ça l’amour, les cœurs doivent se roder De crainte qu’un intrus parvienne à y rôder.
Je la charmais de mots, de mes écrits romans Pour habiter avec elle en pays romand. Mais jamais sa famille ne me demanda tribut Car j’étais de leur sang, j’étais de leur tribu.
(Prémices : premiers produits de la terre ou du bétail. Prémisses : faits étant à l’origine de quelque événement. Prou : assez, beaucoup. Proue : partie extrême de l’avant d’un vaisseau, l’arrière étant la poupe. Radian : unité de mesure de l’angle en géométrie. Radiant : organe destiné à rayonner des ondes électromagnétiques. Rainette : une des espèces de petites grenouilles vertes. Reinette : sorte de pomme à peau tachetée. Rencard : Renseignement confidentiel, rendez-vous. Rencart : jeter, mettre au rebut, abandonner. Roder : user, polir par le frottement les contours ou les angles d’une pièce. Rôder : errer avec une intention hostile ou suspecte. Roman : langues qui se sont formées du latin, style d’art. Romand : relatif à la partie de la Suisse où l’on parle français. Tribut : contribution périodique qu’un État impose à un peuple vaincu. Tribu : groupe de personnes qui ont une affinité ou une similitude.)
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Quand le jour est à peine vierge, juste nimbé d’aube et d’aurore, Les premiers reflets portent encore la patte des anges de nuit. Lentement mille petits cierges, lumière pure et incolore, Viennent adresser, indolore, l’adieu au lion de minuit.
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J’étais ainsi lové dans le sein de la Terre ; Une douce atmosphère maternelle y régnait. Je pouvais m’y laver d’un plaisir solitaire Et pour me satisfaire un rayon m’imprégnait.
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Cette nuit en montant au donjon de mes rêves, Je prendrai l’escalier de grès rose nacré. Me voyant surmontant mes épreuves sans trêve, Les anges hospitaliers m’y seront consacrés.
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Le temps a allumé ton pont pour faciliter le passage Qui t’emmène au nouveau départ sur la ligne deux mille seize. Et ce qui serait le pompon c’est, qu’au cours de l’apprentissage, Ton lion se transforme en guépard pour l’aventure à la française.
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Combien de rires et de larmes ont été gravés dans la roche Depuis que l’homme a occupé une place de conquérant ? Sont-ce des plaintes et des alarmes qui ont tracé ces doubles-croches ? Je suis assez préoccupé par ces sillons prépondérants.
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Je veux quitter les quartiers sombres, habiller mon cœur de couleurs ; Je veux fuir les rues de vacarme, je veux renvoyer l’inquiétude. Que la lumière efface l’ombre, que la paix calme les douleurs, Que seul le silence me charme dans mon village de quiétude !
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Il y a les années de galère, il y a les années de gondole. Ainsi mon cœur sous la houle connaît la joie et les pleurs. Les tempêtes de colère ont blessé mes farandoles Mais les jours où je roucoule occupent le plus d’ampleur.
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