Hier nous avons gravi le Mont Saint-Mamelon, Aujourd’hui c’est l’attaque des Montagnes-des-Fesses. Demain s’il fait très beau, comme choix, c’est selon ; Soit le Mont de Vénus, soit la Grotte-qui-s’affaisse.
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Pour pouvoir respirer sous l’eau, je mets de l’air dans mes moustaches. Je pourrais aller plus profond si j’en mettais plus dans ma barbe, Mais les terribles requins-barbiers rasent de près en multitâches Hier ils m’ont épilé les jambes, vous les verriez, c’est du vrai marbre !
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Que cherchent les deux chiens, debout à la fenêtre ? À quoi rêve l’enfant si ce n’est d’évasion ? Ils sont assis sans maître, il faut le reconnaître, Et guettent impatiemment la première occasion !
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Il se perd dans le brouillard, vous l’apercevez à peine. Et lorsque vous le croisez, vous passez sans le juger. Vous croyiez que le bonheur brillerait comme une aubaine, Mais il est souvent caché à côté des préjugés.
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Pourquoi briser ses chaînes un seul jour dans l’année, Ou se déshabiller dans un éclair obscur ? Si la femme reflète mon âme miscellanée Pourquoi l’humanité est-elle si insécure ?
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Tandis que ma chérie cueille son bouquet de fleurs des champs, Moi, je reste à la fenêtre, la déshabillant des yeux. Juste vêtue de pétales et leurs velours attachant, Une fleur dans les cheveux et son sourire malicieux.
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Debout les fleurs, réveillez-vous ! J’aurai toujours besoin de vous ! Et pour ce soir, le savez-vous ? C’est mon tout premier rendez-vous !
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Tandis que l’œil du cœur tourne autour de l’orbite, L’œil de l’esprit renaît pour une autre aventure. Bienvenue à la vie, adieu pensées morbides ! Bonjour jeunes couleurs aux reflets d’argenture !
Attention ! Mon petit oiseau va s’envoler Pour joindre l’horizon à mon cœur en éveil. Tout chargé d’émotions, il a pris sa volée ; À tire-d’aile, il file au pays des merveilles.
Il pleuvait ce matin, le soleil a percé. Tous les nuages gris se sont éparpillés. Les chagrins de la veille, à mon cœur transpercé, Se sont évaporés en nues écharpillées.
Mes oreilles n’entendent que le chant des sirènes Et sont sourdes aux misères qu’apporte le monde. Je ne vois que les joies positives et sereines Qui assainissent mon cœur de ces troubles immondes.
On dit que je suis fou, que je vis dans mes songes ; Que les simples d’esprit n’ont pas les pieds sur terre. Mais mon œil neuf sait voir vérité et mensonge ; Le bonheur est acquis à mon cœur libertaire.
Un sourire complice sur sa bouche pincée, Un reflet de malice posé sur son regard, La Joconde jeunette a encore évincé Un prétendant en herbe, ridicule et ringard.
Pas besoin de chercher parmi le clair-obscur ! Nulle part elle n’aura l’aspirant de son choix. Ni Castor, ni Pollux, les enfants Dioscures, N’ont eu plus de succès que le bandit manchois.
Laissez-moi vous conter qu’un pompier intrépide, Voulant briser la glace, mit le feu à son cœur. Hélas, le feu de paille devint vite insipide Et le pauvre sapeur digéra sa rancœur.
Une autre fois ce fut un gredin de Sicile Qui pensait l’enlever sur son île déserte. Mais pour le déjouer, ce ne fut pas difficile De l’envoyer balader d’une fable diserte.
Moi, fort heureusement, je ne suis que son père ! J’ai le seul privilège de ne jamais déplaire. Je suis le détenteur de ses rêves prospères Et je reste un pilier calmant pour lui complaire.
C’est entre aurore brumeuse et crépuscule enflammé, Que je viens passer le temps dans le tamis de mes rêves. Une aubade ovationnée, une sérénade acclamée ? Choisissez votre programme, je vous le livre sans trêve.
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Pour éviter les bouchons et les queues interminables, Je fais de l’avion-stop car c’est bien plus agréable ! Il faut bien sûr éviter tous ces vieux coucous minables Et les bonnets des hôtesses doivent être malléables !
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Miroir, mon beau miroir, ne vois-tu rien venir ? Ou bien est-ce une autre Anne qui réfléchit mon âme ? Si ce rétro-voyeur sait montrer l’avenir J’aimerai bien choisir et connaître ma flamme !
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Ce matin tout est gris et noyé dans la brume. Les sommets des montagnes flottent sur les nuages. La rivière s’assourdit sur le bois mort en grumes Et le soleil s’étouffe dans ce trouble engluage.
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Savez-vous comment planter le bonheur dans les demeures ? Savez-vous comment semer le bien-être dans les cœurs ? Il suffit de ramasser des pétales de bonne humeur Et de les lancer au ciel en riant d’un air moqueur !
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Tout juste vêtue de perles rosées, Coccinelle nue s’en va amoureuse Retrouver celui qui va l’arroser De gouttes d’amour juste savoureuses.
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Comme il pleuvait aujourd’hui, j’ai proposé à ma blonde D’aller la promener nue sous cette pluie torrentielle. Elle s’est déshabillée, s’est précipitée sous l’onde En s’aspergeant avec joie de cette eau providentielle.
Elle est fille de sirène et la mer est son berceau ; Elle a les yeux de sa mère et sa longue chevelure. Elle est née fille des vents sous le signe du verseau ; Elle a la bouche de son père et sa fine dentelure.
L’eau est son besoin vital de particulière essence ! Il lui faut de l’eau du ciel pour fournir sa subsistance. La moindre ondée lui déclenche une crise d’effervescence ; Elle va promener nue sans peur et sans résistance.
Il faut la voir se vautrer dans les flaques avec délices, L’eau gouttant de ses tétons comme fontaine ineffable ! Arquant son bassin sacré comme happé par une hélice Vers les cieux condescendants et leur protection affable.
Pour la soustraire aux regards des curieux indésirables, Nous habitons près d’un lac dans la Cordillère des Andes. Moi, je guette les nuages dans ce repaire admirable Et j’engendre les orages avec ma verge gourmande.
Chaque fois qu’elle s’accoude au rebord de la piscine Et que ses seins généreux défient l’anti gravité, Mon regard, pourtant hautain, retombe au pied des glycines, Soumis à leur tentation et leur attractivité.
Seuls peuvent rivaliser ses beaux yeux myosotis ; Cette flamme bleue intense qui m’impose le silence ; Tandis que ses mamelons n’ont pas besoin de notice Pour m’ordonner le respect fors de cette ambivalence.
Mais la sirène est muette et ne sait dire « je t’aime » Elle ne sait que sourire et hypnotiser ses prises. Ça commence par les yeux, son plus précieux système, Et s’achève par les seins dans une double surprise.
Pour apprivoiser la nymphe, il faut passer par derrière, Prendre les seins dans ses mains et les masser tendrement. Lorsqu’elle ferme les yeux, ne pas faire machine arrière Et l’embrasser sur la bouche un peu plus allègrement.
Beaucoup d’hommes ont essayé et beaucoup d’hommes ont péri. La sirène n’admet pas qu’il puisse y avoir un faux pas. Si j’ai su plaire à son cœur contre toutes intempéries C’est en lui goûtant son lait et savourant ce repas.
À force de tourner en rond jusqu’à y perdre notre boule, À force de mettre au carré les quatre coins de notre monde, Nous, les oiseaux, deviendrons fous, serons complètement maboules, Si nous n’arrêtons de virer tout autour de la mappemonde !
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Explosion de lumière, tempête à l’horizon ! Ce premier jour de mars sonne enfin le tocsin. Des canons du printemps tonnant sur les Grisons Et la fin de l’hiver en sérums et vaccins.
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Après avoir traversé le désert blanc de l’hiver, Le caravanier revient pour les beaux jours du printemps. Chargée d’or et de soleil et des fruits les plus divers, La caravane de mars fait la pluie et le beau temps.
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Ce matin, foudroyant à travers le brouillard, Un rayon de printemps a surgi du néant. J’en ai reçu l’éclat fors un peu vasouillard Mais sa douche de feu m’a changé en géant !
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Un joli papillon posé sur son visage Comme un masque placé pour dissimuler ses peurs. Qui saura quelles fins déterminent l’usage De ce voile fébrile insolite et trompeur ?
Quand les craintes animent un doux visage ardent Pour recouvrir ses yeux de deux ailes troublées, Il faut croire à l’audace perçue en regardant La vision timorée mais pourtant redoublée.
Mais le masque n’est qu’une beauté éphémère Qui s’envolera bientôt pour d’autres fleurs sauvages, Laissant la fille en fleur un jour devenir mère Et quitter sa jeunesse pour un autre esclavage.
Je l’ai connue enfant, insouciante et rebelle, Courant dans le soleil et poursuivre ses rêves. Aujourd’hui elle vit, la frêle colombelle, Dans la saison confuse, adolescente et brève.
Seul le temps nous dira qu’a fait le papillon… Est-il resté gardien fidèle et implacable ? Ou bien l’a-t-il laissée franchir le portillon Pour vivre ses amours et sa vie immanquables ?
Juste le temps de boucler mes deux valises fidèles Et nous repartons tous les deux, mon vieux compagnon et moi. Sera-ce pour le Pérou et ses vieilles citadelles ? Je ne le sais pas encore, mais mon chien est en émoi !
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Pour écrire mes poèmes, j’ai pris ma plus belle plume, Mon plus beau papier couché et mon plus bel encrier. Puis j’ai plié mes feuillets, bien rangé mon porteplume, Et j’ai regardé voler mes avions de papier.
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Pour trouver le raccourci vers la vérité céleste, Il ne suffit pas de monter là où t’emporte ta tête ! Plus tu empiles de règles, plus tu fragilises ton geste Et plus la dégringolade deviendra ton épithète.
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Pour sortir de son sommeil cette princesse endormie, J’ai envoyé mon oiseau pour la réveiller d’un chant. Mais à l’orée de l’hiver, tout est en hypothermie ; Il faudra encore attendre un printemps plus accrochant.
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Sur un air de Vivaldi qui courrait sur la campagne, Une gerbe de rayons réveilla les fleurs sauvages. Les danseuses aux pétales, comédiennes et compagnes, Ont bondi sous le faisceau de l’étincelant breuvage.
Ô Printemps, si ta musique ressuscite les fantômes, Répands-la dans les esprits qui languissent dans les villes. Illumine les ruelles, renouvèle les symptômes Qui font fleurir le bonheur dans les affaires civiles.
Entendez-vous les violons, les altos, les violoncelles Qui sèment leurs partitions sur tous les champs de la terre ? Voyez-vous entre les branches, les discrètes étincelles Qui annoncent les bourgeons sur les arbres sédentaires ?
Quand les fleurs jouent les cymbales dans la danse du soleil Et que les papillons d’or font voltiger leurs baguettes, Les percussions des bourdons, qui flirtent avec les abeilles, Mettent une ambiance de joie dans les forêts aux guinguettes.
C’est le sacre du printemps qui réveille les dormeurs Et les sort de leurs effrois, de leurs plaintes et leurs chimères. Ouvrez bien grand vos fenêtres, aérez bien vos demeures ! Laissez entrer dans vos cœurs cette hardiesse primaire !
Créatrice éphémère d’un univers sans fin, Amoureuse éternelle des anges butineurs, La Madone aux étoiles étreint jusqu’aux confins Du firmament de glace ses amants patineurs.
Un jet de lait furtif cristallise le fruit ; J’en observe la trace une nuit sans étoile ! Les saintes mamelles ont le goût de l’usufruit Qui nourrit ses enfants et les couvre de toiles.
Si Dieu est féminin aréolé de saints, Je demande à goûter encore la jouissance De ses seins nourriciers qu’Il me montre à dessein Mais avec la tendresse de sa magnificence.
La Madone est ainsi, amoureuse éternelle ; Et plus je le redis, plus j’apprécie l’extase D’un amour ineffable, tendresse sempiternelle, Qui conseille et conduit mon âme vers l’épectase.
Enfin, c’est là que j’aime aller aux quatre vents Quand mon esprit n’est plus qu’un souvenir de braise. Que m’importe d’user mon corps à contrevent Si l’ivresse m’élève comme un alcool de fraise.
Elle s’appelait Vilaine, jamais je ne l’oublierai. Quand elle me regardait de ses jolis seins pointés, Pour me préserver les yeux de leur éclat déliré, Je les fermais chaque fois à mon cœur désappointé.
Pour préserver cet amour et le nourrir chaque jour, Je ne devais pas lever le regard sur sa beauté. Je me fiais à l’odeur qui fusait à contrejour De ses mamelons fleurés sur sa gorge chapeautée.
Mais un soir au crépuscule, d’une passion trop intense, J’ai osé la regarder pour mieux la mémoriser. Ses deux tétons turgescents étaient de telle importance, Qu’ils brillaient comme un soleil pour mieux me martyriser.
Aveuglé par l’éminence de la poitrine obligeante, Je baladais à tâtons ma main entre ses tétons. C’est ainsi qu’en pétrissant cette chair encourageante, Je l’ai gravée en partant avec mes petits petons.
Aujourd’hui j’y vois plus clair mais la cicatrice reste Et quand je ferme les yeux, il m’apparait le fantôme De ces mamelons avides à l’émergence si preste ! Et l’empreinte restera comme un cruel hématome.
Enfouies sous les villes les racines résistent. Tapie sous le béton, la vie toujours persiste. On verra un beau jour refleurir les rues tristes Et les murs s’effondrer sous les fleurs anarchistes.
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Tous les matins il surveille la frontière silencieuse. Il vérifie l’avancée des congères menaçantes. Si le froid ose franchir la restriction audacieuse, La riposte du printemps sera abasourdissante !
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Juste au coucher du soleil, il faut faire la lessive Bien nettoyer les suaires et huiler toutes les chaînes. Quand la nuit sera tombée, on verra dans les coursives Les fantômes boire l’hydromel vieilli dans des fûts de chêne.
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Faire l’amour un peu partout, demande à bien s’adapter ! Certaines n’ont que deux trous, d’autre trois, même une mâle ! Les anglaises sont carrées ; les grecques un peu de travers ; Les américaines bilames ; les russes, faut les adopter ; Les italiennes sont adroites ; les suisses ont des goûts pervers ; Les françaises plutôt rondes et les belges un peu simplettes.
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Pour traverser le miroir, il faut se débarrasser De ce reflet encombrant qui est déjà dans la place. Ce vieil adversaire odieux serait bien embarrassé S’il devait céder la place et briser ainsi la glace.
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Ding ! Dong ! La lumière sonne ! Ding ! Dong ! Les couleurs détonnent ! Ding ! Dong ! C’est l’heure des vêpres ! Ding ! Dong ! Mais où sont les prêtres ? Ding ! Dong ! Les sœurs se défroquent ! Ding ! Dong ! Si ça vous étonne ! Ding ! Dong ! Les frères en guêtres ! Ding ! Dong ! Sont à la fenêtre !
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« Capri, c’est pas fini et bientôt ça prend forme ! » Telle est la loi réglée de l’Archi-Capricorne ! Tout est né de l’idée de prendre la terre informe Et de la transformer en magique Licorne.
Par ses capacités mentales et concrètes Elle fait apparaître la conscience du temps. Et avec la durée, par sa patte discrète, Son capital grandit bien loin du débutant.
Si la maturité apparaît dès l’enfance, Cet Archi-Capricorne sera bon gestionnaire. Mais son aspect sera bientôt mis en balance Avec austérité et rigueur nécessaires.
Ce sont ses liens sociaux et ses valeurs communes Qu’elle partagera qui donnera le charme D’une capacité à séduire les unes Et attirer les autres sans verser une larme.
D’un aspect de puissance et d’élan créateur, Elle s’est renforcée dans le creux de son âme. Mais beaucoup de tensions d’esprit transformateur Lui fera rechercher l’harmonie de la femme.
Tout doucement s’éveillent, à la nuit de l’hiver, Les frêles pâquerettes un peu matutinales. Les bourgeons apparaissent sur les branches olivaires, Le grand sommeil s’éteint sur une aube finale.
Les grands arbres s’étirent et baillent doucement ; Les oiseaux les excitent dès la pointe du jour. À l’abri des ombrages dans les renforcements, Les œufs couvés frétillent prêts à dire bonjour !
Février sonne l’heure des premières prémices Comme l’horloge suisse au quatrième top. Quand vient la pleine lune, la charmante Artémis Frappe Odin d’une flèche et lui marque le stop.
L’avez-vous entendu, le coucou du matin, Bien avant que l’aurore vous pâlisse le ciel ? Dès qu’il sonne l’appel et que son cri m’atteint Je regarde s’éclore la nature matricielle.
Les fées tissent les toiles emperlées de rosée, Les elfes ressuscitent le bestiaire hiberné. La mort s’en va honteuse sur sa faux nécrosée, Vers d’autres hémisphères où devoir giberner.
Quelle que soit l’intelligence dans le groupe des humains Si une connerie est faisable, elle sera inévitable. Prenez un groupe de cons, bientôt une idée survient, Mettez des savants ensemble, les cons se mettront à table.
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Comme s’il en pleuvait, les toutous sont partout ! Assemblés comme un puzzle, fermes au pied de leur maître. Ils ont l’air de dormir mais si l’on crie « miaou ! », On verra toutes leurs queues servir d’applaudimètre !
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Le phonographe du temps jouait inlassablement Cette vieille partition sur laquelle je gravais Mes ballades nostalgiques pour sempiternellement Inviter quelques amies pour un goûter aggravé.
Un élixir de malices, juste pour les enivrer ; Quelques fruits aphrodisiaques, juste pour les exciter ; Des coupes en forme de calice aux parures d’or givrées ; Quelques chaises accommodantes, pour mes jolies invitées.
Il fallait une banane pour de l’autosuggestion ; Un petit panier de fraise pour en croquer un lopin ; Cinq kiwis, une pastèque, pour hâter la digestion ; Et une poignée d’amandes accompagnées de lupins.
Une liqueur d’ananas décantée la veille au soir ; Avec du sirop de figue cueillies à la pleine lune ; Un avocat de rigueur pour assurer mes espoirs Et enfin une grenade pour mes idées opportunes.
Si tout s’était bien passé, je servais à mes nanas Un petit café serré et des petits chocolats. Pour finir, en digestif, une liqueur de guarana. À la sieste nécessaire je gagnais ma tombola.
Les deux aigles compères ce soir s’en vont pêcher. Le premier tient l’appât et l’autre suit la ligne. Volant au ras de l’eau, ils n’ont pu s’empêcher De taquiner la truite vagabonde et maligne.
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Lorsqu’il prépare son offrande, le beau mâle étend son ramage ! Pourquoi le mâle est-il si beau et la femelle moins servie ? C’est que pour séduire les belles, il faut bien plus que de bagages Et les plus beaux qui sont choisis verront descendance et survie.
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Sous les voûtes silencieuses ce soir entre chien et loup, À l’heure où tout devient bleu et les chats deviennent gris, Vous croiserez sûrement deux ou trois maris jaloux Qui vont se battre en duel pour une foldinguerie.
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L’important, c’est de tourner autour du pot la main leste ! Il faut bien juger le galbe et la taille de la cruche ; Il la faut bien évidée afin d’y joindre le geste Qui travaillera ses formes dans les rayons de la ruche.
L’important, c’est de palper et bien sentir la matière ! Juste assez sur les côtés, bien répartir au culot ; Car, pour servir de nourrice à une famille entière, Il faut pouvoir contenir et s’adapter au goulot.
L’important, c’est revenir plusieurs fois sur son ouvrage ! Les meilleurs pots resteront ceux qu’on aime retrouver. Si tu sais bien les remplir jusqu’au calice, sans bourrage, Les cruchons bien éduqués n’auront plus rien à prouver.
L’important, c’est le premier contact avec la texture ! Que de bonnes intentions et point de pensées impures ! Il ne faut jamais brusquer sous peine de déconfiture Les pots-aux-roses en bouton pour les meilleures boutures.
L’important, c’est le pied ferme, enroulé dessous les formes ; La jambe bien repliée à l’aise dans le giron. Tu verras que tôt ou tard si le bassin se déforme C’est pour mieux te rassasier et alors mes pots t’iront.
Haut-perchée sur sa barrière de fils de fer barbelés, La colombe désespère et ne trouve pas la paix. Car s’il faut une clôture pour pouvoir s’en rappeler, La paix n’est qu’une utopie qui lui ferme le clapet.
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Quand je monte mes fantasmes, l’amour est affriolant ; Faire l’amour en chaussettes ou sur la banquette arrière. Plus c’est drôle ou insolite, plus c’est intense et violent. L’amour sans la fantaisie, c’est la pire des barrières !
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Elle court butiner les perles de rosée Absorbant le nectar du pistil étendard. Sa mère est une fée toujours bien disposée Son père est papillon au caractère fendard.
Maître Soleil est un sorcier qui fait parfois ses expériences. Il se cache dans les nuages et brandit sa baguette ardente. Soudainement un feu de joie surgit dans cette invariance Et l’embrase comme il se doit pour brûler d’amours débordantes.
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À chaque pas, une autre étape, à chaque étape une autre chambre. Cette vie n’a pas d’autre issue que de nous faire cheminer. On ne revient pas en arrière depuis janvier jusqu’en décembre Est-ce que ça va se terminer dans ces couloirs acheminés ?
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Tandis qu’elle attend le client suivant, Sur ses hauts talons en fumant sa clope, Elle a tout son temps, tout en poursuivant Sa quête interlope, la belle antilope !
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