Les arbres adaptent leurs coiffures selon les couleurs de saison Les oiseaux s’y trouvent repaire durant la clarté éphémère. Malgré le froid et ses griffures, ils ont établi leur maison Au tronc robuste comme un père, à la ramure comme une mère.
Faire l’amour à une femme vous met sur un petit nuage Avant de vous exténuer tout droit vers le septième ciel. Alors ne soyez pas infâme et offrez-leur en mariage Une robe couleur de nuée et un parapluie substantiel.
Une semaine avant la date de son rendez-vous amoureux, Colombine, à son cœur morose, parle par fleur interposée. Une fleur s’est fait candidate grâce à ses conseils langoureux Car les secrets du pot-aux-roses l’ont à jamais prédisposée.
Elle lui révèle que son amant, un verseau fou de liberté, Tourne comme un électron libre en orbite autour de l’amour. Pour devenir une maman avec son flirt déconcerté, Il faudra, pour que son cœur vibre, de la patience chaque jour.
J’aime les flamants roses en strass et bas-résille, J’aime les femmes en prose quand je les déshabille. Jolies oiselles à plumes, merveilles de la nature, Belles dames aux volumes promettant l’aventure.
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L’homme qui donne sa semence ne détient pas l’exclusivité De trouver la terre féconde qui germe si elle y consent. La femme, elle, recommence tous les jours cette activité En nourrissant son petit monde en donnant son cœur et son sang.
Quand le verseau se sent coincé dans des questions embarrassantes, Il attend l’énergie cosmique de la nuit de la pleine lune. Faut-il rester ou s’évincer de cette existence harassante ? La question est astronomique et la réponse, bien opportune.
Le verseau possède un trousseau de clefs à toutes solutions Qu’il s’est fabriqué plein d’espoirs pour résoudre tous ses problèmes. Et s’il se cache sous le boisseau, son cerveau en ébullition Cherche à trouver la trajectoire pour éviter tous ces dilemmes.
La religion souhaite apporter l’ordre et la paix sur notre Terre En parsemant ici et là ses maisons consacrées à Dieu. Mais elle ne fait que transporter, sous couvert du plus grand mystère, Que ses richesses d’ici-bas et l’appui des riches odieux.
Que j’aime ces mèches rebelles enrubannées de rouge et bleu Qui rendent hommage au colibri et à la beauté féminine ! Ainsi ma chérie, fais-toi belle ! Ensorcelle-moi, sacrebleu ! Fais-moi sauter comme un cabri, moi Valentin, toi Valentine.
On croit le lièvre, plus rapide, bien plus beau, plus fort et plus riche Or, Monsieur ne fait que passer sa vie à courir à contretemps. Il vit à donf, cet intrépide, mais au fond de son cœur il triche Car ce qu’il n’a pu dépasser le rattrape toujours à temps.
Voyez la tortue, sans douleur, qui va son train de sénateur, Elle regarde les fleurs pousser en écoutant chanter le vent. Elle collectionne les couleurs avec l’éclat modérateur Dont la pluie l’a éclaboussée ce matin au soleil levant.
Photo d’une Tortue arc-en-ciel qui passait par-là après la pluie.
Quand les rêves m’expérimentent, ils aiment bien me placer nu En situations embarrassantes où je me sens humilié. Mais ces expériences me mentent et jamais ne me diminuent Car de cette honte angoissante, je suis enfin réconcilié.
Ainsi chaque partie du corps s’expose enfin sans retenue ; Le sexe se montre en couleurs pour faire de belles rencontres. Les femmes battent des records à se dévoiler toutes nues ; Le cœur enfouit ses pudeurs et jamais ne va à l’encontre.
Une jolie peinture de Leonor Fini, partagée par mon amie Nicoleta Cristina et un grand merci à Sergio Rodriguez DI qui m’a révélé son auteur.
Ce soir, le ciel réduit son feu pour que mijote la rivière Et alimente le bouillon de neige fraîchement fondue. Les arbres secouent leurs cheveux enneigés sur leurs têtes fières Et le temps suspend son manège sur les collines confondues.
Toujours la même vue de ma fenêtre à Sennhof sous la neige au soleil couchant.
On l’appelait « l’arbre aux trois-zeaux » mais il en vint un quatrième Bouleverser les ordinaux, enfin, du moins ce que je crois. Toujours est-il que ces oiseaux dans leur période de carême Désormais aux points cardinaux guettent frileusement leurs proies.
Chaque fois qu’il neige, cet arbre devant ma fenêtre se remplit d’oiseaux qui s’abritent et qui guettent la proie qui sortirait son museau. Hélas à chaque fois je loupe la photo. Ce matin j’ai réussi à n’en prendre que quatre mais je ne désespère pas d’en capturer plus.
Je grave mes petits reflets un peu comme carnets de route Pour déposer quelques repères quand ma route devient morose. J’en écrit ces petits pamphlets qui, si vous êtes en déroute, Vous accorderont, je l’espère, de contempler la vie en prose.
Un coup de pompe, Monsieur Verseau ? Buvez un coup, tirez un coup ! Un coup de panne avec Madame ? Faites un bœuf, gobez un œuf ! Chaque médaille a son verso car la routine vous tord le cou Et quand l’habitude vous gagne, il faut savoir créer du neuf.
Le verseau vit de nouveautés, d’aventures qui se renouvellent Et c’est pourquoi le mariage lui fait un peu peur au début. Mais lorsqu’arrive un nouveau-né, ça redonne un coup de manivelle Qui entraîne un nouveau démarrage et la famille marque des buts.
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Comment ces mamelles s’insèrent parfaitement aux nourrissons Autant que nos mains qui les serrent quand tendrement les pétrissons ? Avouons-le, soyons sincères, au début nous en rougissons, Mais réalisons de concert Ô combien nous en mûrissons !
Je remercie Nicoleta Cristina qui m’a prêté, non pas ses seins, mais la jolie photo.
Après la chandeleur, offrez à votre femme Quelque chose qui bouge, un bouquet composé De grandes et belles fleurs portées comme oriflamme Aux grands pétales rouges sur sa tête posés.
Tous ceux qui ont vu le loup, le renard et la belette Mais qui n’ont pas vu la chèvre, l’ours et le reste de la bande, Devraient venir voir le clou du concert au bal musette Vous entraîner avec fièvre dans leur folle sarabande.
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Comme de temps en temps, ses nerfs se mettent en boule, Notre ami le verseau en devient irritable. Il s’isole un instant, il boude, il se défoule ; Il se la joue perso et c’est inévitable.
Puis il sort tout joyeux, plein d’idées saugrenues Qui nous surprennent un peu et secouent la maison. De ses airs facétieux, il nous est advenu, D’ailleurs de son aveu, qu’il a toujours raison.
Deux ou trois notes de lumière et voilà tout ce que sais faire Pour apporter un peu d’amour à ceux qui me prêtent l’oreille. Le soir, dans le creux des chaumières, assis dans une chaude atmosphère, Je vous apporte un peu d’humour, d’une espérance sans pareille.
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Je dois sauter du coq à l’âne quand je m’endors avec Mireille Et me retrouve bourricot devant ma Vénus échaudée. Fière comme une catalane mais dans le plus simple appareil, Elle me secoue le haricot et je suis fier d’être son baudet.
Souvent il redouble d’efforts afin de battre des records, Mon bel amant qui persévère avec sa prose de troubadour ! Mais s’il me prend dans ses bras forts en me disant « je t’aime encore ! » Ça me met le cœur à l’envers comme un coup de blues à l’amour.
Les premiers seront les derniers, les derniers seront les premiers ! L’adage correspond au verseau qui incarne la différence Entre le rêve du pionnier et le triste train-train coutumier Qui auraient pu, dès le berceau, émettrent leurs interférences.
On les croirait introvertis à cause de leur froide apparence, Pourtant du profond de leur cœur, ils cherchent tant à communiquer. Mais nous en sommes divertis grâce à cette énergique attirance Que l’on attribue aux vainqueurs ; il n’y a pas à polémiquer.
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J’en appelle à tous les taureaux de Camargue et d’Andalousie Pour se présenter dans l’arène afin de servir de témoins : En interrogeant le tarot, j’ai vu sortir la jalousie Qui perce le cœur de ma reine mais me pardonne, néanmoins.
Le noyau familial se referme souvent Par l’énergie d’amour qui vibre dans les cœurs. J’en sens la vibration comme un courant divin Qui déploie son réseau d’univers intérieur.
Dès le sein de ma mère, ce passage émouvant Dont j’ai tout oublié un peu à contrecœur, Par la voix intrinsèque d’un ange un peu devin Me rappelle sans cesse mes mémoires antérieures.
Mon corps reproduit l’harmonie qui résonne dans mes cellules ; Ainsi ma chevelure ondule sous l’hypnose aimante des yeux Dont les cils, sans cérémonie, papillotent comme la libellule Qui cherche, en faisant le pendule, un nectar d’Amour malicieux.
Entre les cellules du corps, il m’est difficile à comprendre Comment les ondes masculines et féminines se correspondent. Il en est beaucoup plus encore tout un univers à apprendre Lorsque mon âme cristalline attend que l’Amour lui réponde.
Avez-vous déjà pénétré dans la demeure d’un verseau ? Vous y verrez des changements et des nouvelles expériences, Tout un ensemble enchevêtré de jeux divers et de cerceaux Qu’il a glanés étrangement lors de voyages pleins d’insouciance.
Car il se décide très vite à la vitesse de la lumière ; Quelquefois même un peu têtu, persuadé qu’il a raison. C’est pourquoi, lorsqu’il vous invite, rejoignez-le dans sa chaumière ; Vous découvrirez sa vertu d’improviser dans sa maison.
Tableau « Secrets de citrouille » 2011 d’Agnès Boulloche.
Dans un méli-mélo de vierges, comment reconnaître la sienne, Celle que m’aura destinée mon arbre généalogique ? Mes branches tendent toute leur verge pour décider qui sera mienne Et vont toutes les estimer de façon méthodologique.
Ce que j’observe à l’horizon ou bien dans le ciel étoilé Échappe à la réalité car je ne suis que créature Qui s’éveille dans sa prison et n’obtient qu’un aspect voilé De toute l’éventualité des mystères de la nature.
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Toutes les dames de janvier s’apprêtent à faire l’offrande Aux précurseurs de février qui vont débarquer sur la lande. Moi, tout candide, j’enviais de voir leurs charmes qui transcendent Mais le froid les a décriées en les couvrant de houppelande.
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Toujours prête à aider les siens, parents, amis et ses voisins, Madame porte plusieurs casquettes comme une vraie boîte à outils. Elle a l’étoffe du technicien, habits et tout le magasin, Mais saura faire sa coquette si aucun truc n’a abouti.
Cela dit, Madame verseau ne cherche pas à se caser. Rebelle envers l’autorité, elle préserve sa liberté. Elle préfère lier son verso avec des rectos déphasés Car l’amour est la qualité d’une éternelle puberté.
Photo de Cara Delevingne par Richard Bush pour I-D Magazine November 2013.
Rien ne va plus sur la planète et je me sens tout décalé À tel point que je n’ai vraiment plus les yeux en face des trous. Tout ça me fait tourner la tête et me force à tant pédaler Que j’en ai des désagréments qui m’indisposent peu ou prou.
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Nous avons vaincu la nature par le béton et par le fer, Nous avons dressé vers le ciel notre orgueil et notre ambition. Quel spectacle que ces structures, quel monde que celui des affaires ! Mais où est passé l’essentiel ? L’amour et toutes ses traditions ?
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Quel bel artiste, cet hiver, qui redessine les chemins Par coups de lavis appliqués sur les plaines et les forêts ! Il n’y a point dans l’univers de peintre qui, en un tournemain, Serait capable de dupliquer ces œuvres maîtresses arborées.
Tableau « Ruisseau dans la forêt » de Marc-Aurèle Fortin – 1888-1970.
Chez les verseaux au féminin, on jouera les filles de l’air Tandis qu’au côté masculin, on ira crever les nuages. C’est comme un virus, un venin, un genre de maladie stellaire Qui les pousse à faire les malins et fantasmer aux décollages.
Leurs montgolfières ainsi gonflées d’un gaz frivole et désinvolte, Les voici partis pour tromper le monde par leurs stratégies. Écoutez le souffle ronfler des vents qui tournent et virevoltent Autour de l’esprit bien trempé qui vivement les privilégie.
Aussi loin que fuit la lumière, même au-delà de l’horizon, Alice verra les merveilles s’étirer jusqu’à l’infini ! Et ce lapin qui fait le fier, sortira-t-il de la prison Qui le plonge dans le sommeil ? Mais l’histoire n’est jamais finie…
Finalement, tout se répète et je me retrouve aujourd’hui Juste au milieu des réflexions d’humains qui ont pensé à moi. Un peu d’amour, des galipettes, enfin voici ce que je suis : Un homme au cœur en réfection et à l’esprit en plein émoi.
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Se montrer ainsi, le cœur nu, serait d’une folle impudence Or l’esprit a créé des masques pour travestir la vérité. Le mensonge devient l’inconnue qui va braver avec prudence Les gens si cruels et si flasques habillés de témérité.
Dieu, que cet infiniment grand donne un sentiment d’impuissance Et que l’infiniment petit me donne encore plus le tournis ! Combien me paraît-il flagrant de n’en comprendre la puissance Et combien grande est l’empathie que tout mon être lui fournit !
D’abord celui qui ne voit rien mais il regarde avec le cœur, Après celui qui n’entend rien mais il écoute son intérieur, Enfin celui qui ne dit rien mais fait du silence un saint chœur ; Ainsi ces trois épicuriens montrent un sourire à l’extérieur.
Ils aiment surprendre, il est vrai, d’une nature créatrice Qui ne suit jamais les chemins déjà empruntés maintes fois. En eux, tout l’art est délivré par une âme procréatrice Qui, hier, aujourd’hui et demain contribue à montrer la voie.
Quel nouveau départ me charme plus que celui du lundi, Comme une semaine vierge où construire mes projets ! Que le temps ne me désarme de ces heures approfondies De crainte que ne divergent les délais à déroger.
C’est ainsi que ce matin, Alice me prit par la main De peur que je ne m’enfuis à la poursuite du temps. Armée de son air mutin, elle m’escorta en chemin. À présent ce qui s’ensuit, j’en ai le cœur palpitant.
Le talent que je subodore qui reste caché dans ton cœur Serait si beau dans le spectacle de ton âme nue libérée. Que tes pensées multicolores goûtent de l’amour sa liqueur Afin de porter au pinacle toutes mes tensions sidérées !
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Quand mon chat dort profondément enveloppé dans mon giron, Quelquefois son rêve s’entrouvre et m’entraîne bien malgré moi. Et le voici effrontément en tirant sur les avirons D’une barque qu’il me découvre pour y cacher tout mon émoi.
La foi soulève les montagnes quand tu te fusionnes à la Terre Et elle renverse les océans quand tu t’accordes à l’univers. Quant à retourner ta compagne, un cœur d’amour élémentaire La basculera de son séant comme un soleil en plein hiver.
Nous gardons tous un cœur d’enfant, parfois fonceur, parfois rieur, Parfois rêveur ou batailleur, parfois chantant à pleine voix ; Mais de mémoire d’éléphant, personne n’est aussi farfouilleur Que l’enfant qui venait d’ailleurs afin de réinventer la joie.
Un petit clown vit dans son cœur pour créer mille solutions Pour s’amuser même aux dépens des autres, c’est encore plus drôle ! Toute sa vie, restera vainqueur, son esprit en évolution Jamais ne se préoccupant de demeurer hors de contrôle.
Quand elles expriment la douleur de ne pas être reconnues Comme le reflet de notre âme qui se propage à travers l’homme, Des milliers d’anges et de couleurs se dégagent de leur cœur nu Irisés comme une oriflamme qui personnifie leur royaume.
Dans le club très fermé des femmes, les hommes ne sont pas admis Car, nous ne pouvons le nier, la gloriole crache leur venin ; Tandis qu’autour de belles flammes, elles se regroupent entre amies Afin de pouvoir communier avec l’éternel féminin.
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Il se distingue par son audace pour attaquer l’adversité Car il adore nous surprendre en allant à rebrousse-poil. C’est stratégique et ça passe en maniant la diversité Mais ne cherchez pas à comprendre, jamais ses calculs ne dévoile.
Le verseau sait nous embarquer dans toutes sortes d’expéditions Qui poursuivront ses ambitions idéalistes où il s’insère. Mais, comme nous l’avons remarqué, parfois nous en bénéficions Par amitié et protection car il reste fidèle et sincère.
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Toutes les femmes que je préfère sont celles qui étendent leurs jambes Galbées en collant ou en bas et laissant monter mon regard. Tandis que la dame de fer qui écarte trop l’entrejambe Fait tomber mon désir bien bas par son aire de femme-cougar.
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« Reviens à la maison ! » Criait une matrone Dont le mari volage était parti ailleurs. « Reviens à la raison, sinon je te bastonne Et ton batifolage ne te rendra railleur ! »
Or le mari frivole entendant son appel, Lui fit la sourde oreille, l’envoya sur les roses. Et la femme, un peu folle, lui brandit un scalpel Pour rendre la pareille en lui coupant les choses.
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Qu’elle était douce et accueillante, mon hôtesse de cette nuit Qui m’a ouvert sa maisonnée avec un petit grain de folie ! Tellement tendre et bienveillante, qu’elle m’a offert à minuit De faire une chose irraisonnée et la rejoindre dans son lit.