Les ondes valentines

Toutes les femmes me rappellent mes souvenirs d’avant la vie,
Avant que je devienne un homme, avant de prendre un corps de chair.
Et si les femmes m’interpellent, si leur présence me ravit,
Je n’y vois là que le symptôme de mes principes les plus chers.

Sans cesse leurs courbes m’évoquent des rayonnements magnétiques,
Des interférences d’amour entre les plis de ma mémoire.
La raison la plus équivoque qui guide mes rimes érotiques,
Apparaît clair comme le jour parmi mes reflets vers qui moirent.

Tableaux d’Egor Ostrov ; Facebook a censuré le deuxième tableau a sa parution.

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