Un flambeau de canal de lumière Se pose ce soir sur l’océan Dans un couchant flamboyant Pour enflammer l’univers !
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Toutes les eaux des montagnes de glace Descendront dans la vallée du printemps. Toute la vie en différentes places Se déplace partout, ici et maintenant.
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Partir à la pêche sur la glace Aux premières lueurs de l’aube, Sentir autour de soi tout l’espace Et respirer l’air neuf dans mes lobes.
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Ce vieux pont sur la rivière, Je l’ai traversé maintes fois. C’est celui qui me préfère Car je l’ai construit pour toi !
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Tout au bout de ma rue, il y a une impasse. Tout au bout de l’impasse, il y a un escalier. Tout au bout de l’escalier, il y a ma porte Et derrière ma porte, il y a l’inconnu.
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Avez-vous vu le fou sur la plage ? Il se drape de nuage. Il se couche sur le sable. Il a cessé d’être vulnérable.
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Quand l’homme oiseau étend ses ailes de mystère, Lorsqu’il s’envole à la rencontre du bonheur, Tout son corps échappe à l’attraction de la Terre, Tout son cœur brûle d’un feu divin intérieur.
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Je t’offre une fleur pour calmer tes peurs Posée sur ton cœur ; la douce chaleur. Puisse ce bonheur gommer les erreurs ! Puisse mon ardeur rendre un cœur rieur !
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L’homme aux couleurs du cœur s’adapte à son élément. La Terre est sa terre qui le nourrit. L’Air est son air qu’il respire. Le Feu est son feu intérieur. L’eau est son eau qui compose son corps. L’homme aux couleurs du cœur se fond dans la nature. L’homme aux couleurs du cœur est la nature.
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L’homme aux couleurs du cœur a les yeux bandés. Toutes ces images du monde, Toutes ces musiques du monde, Tous ces peuples du monde, Ses yeux seuls ne peuvent tout capter, Alors il perçoit de l’intérieur, Alors il écoute de l’intérieur, Alors il regarde à l’intérieur.
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Subrepticement je la vis Accrochée à sa falaise. Elle était une fleur de vie, Elle était à son aise.
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Multifonctionnelle, multidisponible, multimains, La femme aux dix mains. Toujours à l’écoute, toujours sur la planche, La femme aux dix manches. Elle offre tous ses bras, c’est mon ange, La femme du dimanche.
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Quand elle joue avec le vent Je reconnais son cœur d’enfant. Son corps flotte comme un drapeau Dans le vent qui fouette sa peau.
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Connaissez-vous la fée sauvage ? Elle s’accroche à un nuage, Elle s’envole du rivage, Elle saute sur les falaises, Elle lance son corps de braise, Elle plonge dans l’écume, Elle vit dans la lagune, Et je l’aime…
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Juste vêtue d’une vague, Elle dormait sur le rivage. Je l’ai vue et je l’ai veillée Mais je ne l’ai pas réveillée.
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L’oiseau de pluie m’a annoncé, L’oiseau d’étoiles est arrivé, L’oiseau de feu vient se poser, Un message pour mon cœur, Un message pour mon âme, Un message et je m’envole.
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Dans ton regard j’ai vu mon âme. Dans ton cœur j’ai vu ma présence. Dans ton désir de me surprendre, J’ai vu ce qui est à comprendre. ——– Saut de page —-
Dans le secret de la fleur, J’ai vu la marque de la vie, Celle qui donne l’impulsion, Celle qui marque la matière. C’est au plus profond de son coeur Que j’ai trouvé la fleur de vie.
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Toutes les étoiles de ma route S’illuminent lorsque je cherche ma voie. Parfois je doute et me déroute, Toujours j’entends le son de leur voix.
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Des vagues de feu Sur une mer d’azur, Mon bateau glisse doucement Entre le ciel et l’océan.
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J’ai vu des jonques par milliers Couvrir la mer comme des vagues Qui venaient depuis l’horizon Déferler fort sur nos rivages.
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Juste un pont entre toi et moi Pour imaginer l’espace d’un instant, Une pensée, un ressenti, un émoi, Que tu reçois comme un présent.
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Juste au bord de la mer, quand j’atteignis la grève, Mon imagination m’a noyé dans les rêves. Avant que je ne sombre dans la seconde brève, J’ai vu tout s’effondrer, sans répit et sans trêve.
Les sables ont tremblé et se sont recourbés ; J’ai eu juste le temps de ne pas m’embourber. J’étais impressionné, tellement perturbé Que j’en ai eu l’esprit quasiment masturbé.
Soudain venant des nues, les cumulonimbus Se sont tous regroupés vers les cunnilingus. Un phare obéissant vite à ce stimulus S’est dressé devant moi, debout comme un phallus !
Le paysage enfin s’est ouvert à mes yeux ; J’ai compris qu’on m’offrait le fier vaisseau de Dieu. Je pars à l’aventure au destin ambitieux, J’en suis le capitaine, je vous fais mes adieux !
J’ai trouvé au marché ce vieux cadre oublié. Je l’ai dépoussiéré ; il venait d’un grenier. Je l’ai bien nettoyé sans bourse délier. Il me fait voyager car je suis casanier.
Aussitôt installé, le soir mon plafonnier Devint illuminé éclairant le quartier… Les murs ont envolé, d’abord mon canotier, Puis ils ont dispersé mes dossiers, mes papiers…
Ce matin mon parquet sentait le vieux thonier, La pièce est inondée, j’ai de l’eau plein les pieds… Dans la rue les pavés sont sous un sablier, J’ai même vu passer plein de caravaniers…
Je crois que j’ai fêlé la tête au cafetier ! De ce cadre trouvé je suis embastillé ! Au secours, écoutez le cri du prisonnier ! Prévenez les pompiers et les carabiniers !
Il refleurit encore et encore aujourd’hui. Hier pot-aux-roses il fut, avant qu’il fasse nuit, Ce matin, pot-au-bleu, au soleil, il reluit ; Une fois de plus le miracle s’est produit.
Une source de vie : Le trou vert reverdi ! Comme l’opéra-dit : Le trouvère de Verdi ! Un spectacle éblouit : le couvert resplendit ! Un prodige inouï : le couvercle est rempli !
À cette dimension, l’univers s’accomplit Par circonvolutions, merci Fibonacci ! L’espace-temps doublé par une autre magie : Les sept dimensions, ici, toutes réunies !
Ils s’échouent sur la berge, explosent sur la plage. Les bouteilles englouties délivrent leurs messages. Ils traversent les mers résistant aux roulages, À dure école ils ont fait leur apprentissage.
Regardez leurs assauts après leurs longs voyages : Ils affrontent bateaux, et mille appareillages ! Regardez l’abordage hardi de leur sillage : Ils déferlent intrépides et écument de rage !
Je vous admire, fiers messagers de Neptune ! Vous qui communiquez partout mes infortunes ! Votre courage et votre force sont opportunes ! Vous qui transmettez par le monde ma vraie fortune !
Elle tourne et retourne tout autour de son pot, Elle forme et façonne sans prononcer un mot, Son ouvrage l’absorbe et marque le tempo De ses jours et ses heures passées à l’entrepôt.
Elle manie la terre en fait naître des cruches De la taille d’un œuf et même un œuf d’autruche. Absorbée, occupée comme l’abeille à sa ruche, Elle aime son métier et c’est sa coqueluche.
Elle y met tout son cœur, elle crée le bonheur ! Si vous lui demandez elle saura sans erreur Vous modeler un broc d’un style avant-coureur Comme vous n’en découvrirez nulle part ailleurs !
Il est seul à son ouvrage, il y met tout son courage ! Installé sous les ombrages, juste à côté du rivage, Il fait le raccommodage, répare les déchirages Devant un aréopage de barques mises à l’ancrage.
Il contracte le cintrage, apprécie l’équilibrage, Vérifie tous les métrages, allège les rembourrages. Il a connu des naufrages, de violents coups de cirage, Des tempêtes et des outrages, parfois brut de décoffrage !
J’en perçois le déchiffrage des rides sur son visage. J’en dessine un crayonnage après je passe à l’encrage. Pour terminer le centrage de mon petit court-métrage, J’en peaufine le cadrage pour respecter l’arbitrage.
Je n’ai pas trop les pieds sur terre, je suis marin. Je n’ai pas trop les pieds dans l’eau, je suis à terre. De la fenêtre de l’hôtel héliomarin Je vois passer des petits cotres d’Angleterre.
Je me suis enivré d’odeur de romarin. Le sol ondule et les maisons sont de travers. Je vais me faire houspiller par les mandarins Mais je vais fuir par le balcon du presbytère.
J’ai rencontré une vendeuse de tamarin ; Sur son bateau elle m’a proposé un verre, Puis elle m’a servi un plat de navarin. Oubliez-moi, je n’ai plus l’esprit terre-à-terre !
Inondé de lumière, j’ai ouvert mon coeur au Soleil. Inondé de bonheur, j’ai laissé sortir mon coeur d’enfant. Je l’ai laissé exprimer sa joie, sauter, rire et danser. J’ai largué mes amarres et mon bateau s’est éloigné. Avec lui tous mes soucis sont partis. Je reste dans la lumière et je ris et je ris !
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J’aime marcher le long des rives Tandis que la pluie fouette mon parapluie. Je laisse mon coeur écouter ses rêves Et je nettoie mon corps de tous ses ennuis.
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Aux premières lueurs de l’aube, Tandis que la Terre s’éveille, Le Soleil nourrit les couleurs de ses filles.
Aux premières lueurs de l’aube J’ai ancré mon bateau sur la rive Et je suis parti cueillir les couleurs de la Terre…
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Parfois je vais là où va l’oiseau, Parfois je monte là où montent les rêves, Parfois je m’élève là où pointent les cimes, Parfois j’atteins ma nourriture.
Je les vois tous tordus, je le juge foutus, Ils sont tous distendus comme un malentendu. Mais quels sont ces fichus mâts sûrement mordus, Par je ne sais quel gus, sinistre individu ?
Mais ce n’est qu’un reflet que je vois s’agiter. Je n’ai pas observé que la réalité ! Ce que je vois courbé n’est pas vraiment l’objet, Mais l’image immergée dans une ambiguïté.
Il ne faut pas prétendre à toujours tout comprendre. Car il vaut mieux attendre que se laisser surprendre. Ce qui n’est que méandre et illusion à prendre Permet parfois d’apprendre à connaître et entendre.
Je change de crèmerie pour la popoterie : Impasse papeterie, pressez la sonnerie Pour un charivari à la toile émeri ! On papote et on rit comme des canaris !
Quand le vin est tiré au début de l’été, Il faut rire et chanter et pas se lamenter Si je t’ai invité(e), c’est pour ton amitié Et pour nous préserver un peu d’intimité.
J’avais la cervelle qui faisait des vagues. Arrivait le sac comme un coup de dague, Venait le ressac, comme écho de drague, Comme des chars russes au printemps de Prague.
De la marée haute dont les flots m’emportent, À la marée basse, comme feuille morte, J’avais dans la tête des émotions fortes Broutant mon cortex comme une cohorte.
La vague déferle les vertiges opèrent Des effets de gerbes, perte des repères. La vague s’étale et je désespère. La vague reflue j’appelle mon Père !
Ce n’était pas grand-chose, juste un vieux pot-aux-roses. Pour mes pensées moroses, mes moments de psychose. À toute petites doses ou jusqu’à l’overdose. Priant que ça éclose, pour la métamorphose.
Hier j’étais offensé lorsque tu m’as blessé. J’y ai alors déversé mes mauvaises pensées Arrosées d’un’ pincée des glandes sébacées, Fuyant les opiacées car j’en avais assez.
Je laisse ainsi croupir les mauvais souvenirs. Je les laisse pourrir sans regret survenir. Je laisse ainsi mourir pour ne rien retenir. Je m’en vais me nourrir, je vais m’entretenir.
Le miracle s’opère sans que je désespère. Je m’adresse à ma mère, ma vie n’est plus amère. Je m’adresse à mon père, je n’ai plus de repère. Je lâche mes colères pour que mon cœur prospère.
La femme à soixante ans est toujours attirante. Elle a, au fil des ans, acquit l’âme vaillante. Elle va souriant dans sa vie rayonnante. Elle vit patiemment dans la voie souriante.
Elle a, évidemment, une humeur chancelante. Elle a mille tourments mais jamais défaillante. Tous ses millions d’enfants dont elle est bienveillante Lui rappellent tout le temps sa nature accueillante.
J’ai pour elle vraiment une pensée charmante. Elle est belle et pourtant restera flamboyante ! Dans mon cœur cet enfant demeurera brillante Car elle est maintenant à jamais pétillante !
La femme à soixante ans est toujours attrayante. Son cœur a soixante ans, son âme est clairvoyante. Elle offre à ses amants une peau croustillante. Ses soixante printemps la rendent émoustillante !
Vers la gauche il regarde et se tient sur ses gardes, Vers la droite il s’attarde hésitant par mégarde. Le cœur de l’ange hasarde, cet ange, l’âme hagarde, Oscille entre avant-garde et entre sauvegarde.
C’est le prince de l’onde à l’humeur furibonde. D’une allure faconde pour commencer sa ronde Et d’une âme féconde à la même seconde. Son esprit vagabonde, sa nature est profonde.
Ange de l’eau, tu mens ! Tu vis l’atermoiement ! Ange de mer, suspends ta pendule d’argent, Ange de l’océan, tes quarante rugissants, Ange des grands courants, l’éternel louvoiement !
Bien ancré à mon rocher, je laisse le fleuve dériver. Mon bateau est à quai et je reste aux aguets Prêt à repartir au moindre signe, Prêt à t’écrire quelques lignes.
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Sur le fleuve du silence je plonge ma pagaie Et j’avance sans bruit dans la nuit. Je parcours les rives de mes rêves. Je sais où je vais et mon ange me guide.
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Et si on se faisait un bisou bec-à-bec ? On s’envole vers la plus haute branche, On prend un bain de lune, On s’asperge d’étoiles, On se baigne de paradis, Le coeur serein !
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Les plus beaux animaux courent libres dans la nature. Les plus beaux hommes vivent libres dans leurs rêves. Les plus belles femmes aiment librement dans leur coeur.
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J’ai ramené cette fleur pour toi. J’ai cherché la toison d’or à l’autre bout de la Terre. J’ai trouvé le Soleil de la vie. J’ai cueilli sa fille baignée d’or et de lumière.
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Mon double et moi menons nos vies en parallèle,
Nous ne nous rencontrons jamais.
Peut-être avant la naissance ?
Peut-être au bout de la vie ?
Nous cheminons ensemble et rions de concert.
Pour apprendre à chanter, l’oiseau écoute la Terre Pour entraîner sa voix, il se gorge d’étoile Pour affermir son chant, il se nourrit de rosée Pour séduire sa belle, il exhale l’amour.
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La nuit, tous les élémentaux s’activent en secret. Quand l’aube darde ses rayons, on aperçoit les retardataires ; Ceux qui voulaient bien faire leur travail. Remercions-les ! Nous leur devons les plus belles merveilles…
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Quand l’aube luit sur les eaux dormantes du lac, J’ancre tous les bateaux de mon corps, J’encre toutes les lignes de ma vie. Images trouvées sur Pinterest sans indication de provenance.
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Le Voyageur décide son chemin dès l’aube. Le Conquérant marche d’un pas confiant à midi. Le Maître parcourt son domaine le soir. Le Sage expérimente la nuit.
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